Jan 01 1970 GMT00:33
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De sa création en 1843 à aujourd'hui, le n'a jamais cessé de changer !
Retour sur 6 dates qui ont marqué notre histoire 📅
▶️ 1832 : le collectionneur Alexandre Du Sommerard installe sa collection dans l'ancien hôtel des abbés de Cluny, en plein cœur du .
▶️ 1843 : l’État acquiert les collections Du Sommerard et l’hôtel de Cluny. La même année, la Ville de Paris lui cède les vestiges des de Lutèce et le dépôt lapidaire qui y est conservé.
▶️ 1882 : Les tapisseries de la Dame à la licorne sont acquises pour le musée. À la même époque, l’architecte Boeswillwald est chargé d’une première extension, pour améliorer la présentation des œuvres.
▶️ 1977 : Les collections Renaissance du musée sont déposées dans le tout nouveau musée @musee_renaissance.
▶️ 2015 : Un vaste chantier de modernisation est lancé, notamment pour rendre le musée physiquement accessible à tous.
▶️ 2022 : On attend impatiemment notre réouverture, début 2022, pour vous présenter notre « nouveau » musée.
Jan 01 1970 GMT00:33
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🇫🇷 Le prêteur et sa femme, peints par Quentin Metsys en 1514, vous souhaitent une ! 😊
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⚖️ Les deux personnages sont représentés assis derrière une table, leur position les place en parfaite symétrie. L'homme devant lequel s'étalent des perles, des bijoux et des pièces d'or est occupé à peser ces richesses, activité qui distrait son épouse de la lecture d'un livre saint, où l'on reconnaît une représentation de la Vierge et l'Enfant.
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✍️ La seconde moitié du XVe siècle est marquée par l'expansion, dans l'Europe septentrionale, de la peinture de genre : paysage, portrait et scènes de la vie quotidienne. Les artistes dénoncent, par des représentations moralisatrices de la vie quotidienne, les vices de l'humanité et l'aspect éphémère de la vie.
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👀 Ces aspects sont mis en valeur dans le tableau de Metsys considéré comme l'un des initiateurs du genre. Les objets disposés à l'arrière-plan sont soigneusement choisis et renforcent l'aspect moral de la composition. Par exemple, la carafe d'eau et le chapelet suspendu à l'étagère symbolisent la pureté de la Vierge.
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🌎 The moneylender and his wife, painted by Quentin Metsys in 1514, wish you a ! 😊
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⚖️ The two subjects are depicted seated behind a table, in perfect symmetry. The man is busy weighing the pearls, jewels, and pieces of gold on the table in front of him. This is distracting his wife from the book she is reading-a work of devotion, as the illustration of the Virgin and Child shows.
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✍️ The second half of the fifteenth century in northern Europe saw an expansion of genre painting-landscapes, portraits, and scenes of daily life, which artists depicted with moralizing overtones as a way of condemning human vices and reminding viewers of the frailty of human existence.
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👀 These are precisely the aspects that Metsys-often considered one of the founders of the genre-highlights in this work. The objects in the background have been carefully chosen to strengthen the work's moral message. For example, the carafe of water and the rosary hanging from the shelf symbolize the purity of the Virgin.
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📷 © Musée du Louvre, dist. RMN - GP/ Angèle Dequier
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Jan 01 1970 GMT00:33
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Le dessin de la semaine par @jeanphilippedelhomme:
spilliaert: Je n’aurais pas été seul pour rien.
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This week post by @jeanphilippedelhomme:
spilliaert: I will not have been alone for nothing.
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En 2020, le musée d'Orsay accueille Jean-Philippe Delhomme en résidence sur son compte Instagram. Un rendez-vous hebdomadaire mettant en images la vie du musée et les artistes de sa collection.
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In 2020, the Musée d'Orsay welcomes Jean-Philippe Delhomme in residence on Instagram for a weekly encounter with the life of the museum and its artists.
Jan 01 1970 GMT00:33
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[ JOURNÉE NATIONALE DE L’ARCHITECTURE ]
Ce dimanche 18 octobre, le musée de l’Air et de l’Espace participe aux journées nationales de l’architecture !
Cette journée sera l’occasion de visiter en avant première la tour de contrôle qui sera désormais ouverte à la visite ✈️
Au programme de la journée :
🥳 Ouverture de la Tour de contrôle, restaurée dans son état de 1953 ! Créneaux de visites toutes les 30 minutes, sur réservation au point info le jour même.
🔎 Visite guidée “Balade autour de l’aérogare” : Plongez dans l’histoire de ce lieu mythique et des projets architecturaux qui l’ont façonné.
💡Atelier “Imagine le futur musée de l’Air et de l’Espace” : Imaginez, dessinez, réalisez ou modélisez une maquette du musée dans le Salon Dollfus avec le CAUE 93 et @icietlab
⏱Atelier Kapla : Réveillez votre âme d’architecte et tentez de reconstituer l’aérogare dans le temps imparti avec des planchettes de bois Kapla avec le @centre_kapla_paris
📸Exposition “Histoire et architecture, de l’aérodrome à la Grande Galerie” : À travers cette exposition inédite, découvrez la genèse de l’aérogare du Bourget.
🎥 Projection du documentaire ”Le Bourget, un siècle d’aviation” produit par @magellairprod pour @rmcdecouverte
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✅ Événement gratuit
🕑 De 10h à 18h dimanche 18 octobre
ℹ️ Toutes les informations sont à retrouver sur notre site internet
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Jan 01 1970 GMT00:33
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Spectaculaire ! Notre éléphante naturalisée Marguerite, aussi appelée Parkies, trône depuis ce matin dans la nef du @museeorsay. C'est l'un des nombreux spécimens prêtés par le Muséum pour l'exposition qui ouvrira le 10 novembre. Connaissez-vous cet animal historique de nos collections ? 🐘
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En 1798, cette éléphante d'Asie arrive des Pays-Bas aux côtés de son fidèle partenaire Hanz, pour enrichir la Ménagerie du . Un événement sensationnel qui fait d'eux le couple vedette de la Ménagerie ! Parkies vécut à la Ménagerie jusqu'en 1816 et a ensuite été naturalisée.
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Organisée en partenariat avec le Muséum, l'exposition "Les Origines du Monde" retrace la relation entre l'Homme et les animaux, à la croisée des sciences et des arts. Nous aurons l'occasion de vous en reparler !
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📷 Musée d’Orsay / Sophie Crépy
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Jan 01 1970 GMT00:33
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🍂 Cette estampe d'Hokusai intitulée « Tenchi Tenno ; Paysans en automne » est extraite de la série des « Cent poèmes expliqués par la nourrice » (1835-1836). Elle évoque les teintes automnales grâce à de subtiles jeux de couleurs et de dégradés.
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Jan 01 1970 GMT00:33
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Quelle étrange voisinage !
Marguerite, éléphante d’Asie, parfois surnommée Parkie, a quitté momentanément @le_museum pour s'installer parmi les sculptures du musée d'Orsay.
Elle prend un peu d'avance sur l'événement "Les . L’invention de la nature au XIXe" qui ouvrira le 10 novembre 2020. Sa présence spectaculaire dans la nef interpelle ainsi sur les relations étroites entre la nature, les sciences et les arts qui sont le fil conducteur de l'exposition à venir et abordera également la question des frontières et des relations entre le monde animal et le monde humain.
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What an unusual sight!
Marguerite, an Asian elephant, sometimes nicknamed Parkie, has just temporarily left @le_museum to settle among the sculptures of the Musée d'Orsay.
It is a little ahead of the event "The . The invention of nature in the 19th century" which will open on 10 November 2020. Its spectacular presence in the nave evokes the close relationship between nature, sciences and the arts, which is the common thread of the upcoming exhibition, and will also address the issue of borders and relations between the animal world and the human world.
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📷 © Musée Orsay / Sophie Crépy
Jan 01 1970 GMT00:33
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C'est l'automne ! Venez voir notre sélection thématique sur le compte Pinterest de la Collection Maciet > https://www.pinterest.fr/bibliotheque_MAD/inspirations-dautomne/
Album Étoffes. Tapisserie. Pays divers. XIXe siècle. Sujets divers. France-Z. éditeurs divers, 1800. Cote Maciet 294/40
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́e ́edesartsdécoratifs 
Jan 01 1970 GMT00:33
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Aujourd’hui, une vue de l’atelier du troisième étage.
« Il faudrait abandonner cette idée si fausse et si rabattue et si dangereuse que l’artiste doit être le reflet de son temps et des tendances de son époque. Il est [de toute] ne peut se faire que l’homme puissant à une source impure soit condamnée, lorsqu’il s’apercevra [du] danger qu’il court, à continuer d’y puiser. Il ne peut se faire que l’homme qui, du berceau jusqu’à l’âge où le cerveau et l’âme produisent, a grandi au contact d’un certain ordre d’idées et de sentiments infusant toute une génération, ne garde fatalement cette empreinte durant le cours de toute sa vie.
Il ne peut pas arriver que l’intelligence qui devance son siècle ou le domine soit enchaînée aux faiblesses et aux turpitudes de ce siècle, tout en ne pouvant nier son existence et en saisissant l’esprit général. Voilà donc l’artiste vrai, le seul : c’est celui qui, tout en appartenant à son époque, ne parle pas pour cette époque, et, respectant les vérités [profondes] [mot illisible] du passé, et prophète des rêves de l’avenir, force l’intelligence humaine à oublier les animaux et plantes [?], réalités du présent. » Gustave Moreau
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[] Pour ouvrir la semaine du goût 2020, partageons le gargantuesque repas à 22 plats du duc de Richelieu !
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Durant la guerre de Sept ans, le maréchal de Richelieu, fin gastronome, aurait décidé de donner à certains princes allemands, ses prisonniers, un somptueux repas. Il demande alors à son cuisinier, un certain Richard, de confectionner ce festin avec ce dont il disposait : un bœuf et des « racines ».
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Ragoût de bœuf espagnol appelé Olla Podrida
Soupe épaisse de Gascogne
Palais de bœuf sauce Sainte-Ménehould
Petits fours à la viande hachée et à la ciboulette
Rognons de bœuf à l’oignon rôti
Tripes sauce blanche au jus de citron
Cuisse de bœuf aux racines et jus de viande
Queue de bœuf à la purée de châtaignes
Ragoût de langue à la Bourgogne
Roulade de bœuf aux câpres de capucine
Bœuf au céleri braisé
Bœuf rôti à la purée de noisettes
Cervelles de bœuf sur pain grillé
Filet rôti
Salade de chicorée à la langue
Bœuf en gelée blanche aux pistaches
Gâteau froid au bœuf sanguin et au vin
Navet glacé sauce du jus de bœuf rôti
Gâteau de cervelles en croûte de pain
Gelée de jus de viande aux citrons confits
Purée de fonds d’artichauts au jus et au lait d’amande
Gelée de bouillon de bœuf au vin d’Alicante et aux mirabelles
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Bonne semaine et bonne dégustation !
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@semainedugout
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(C) Paris - Musée de l'Armée, Dist. RMN-Grand Palais / Emilie Cambier
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Jan 01 1970 GMT00:33
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L’ŒUVRE DE LA SEMAINE
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Le peintre Étienne Bouhot expose cette œuvre au Salon de 1810 représentant La Place et la fontaine du Châtelet.
La forteresse médiévale du Grand Châtelet est démolie de 1802 à 1810, une place est alors créée. La fontaine du Palmier, œuvre de l’ingénieur François-Jean Bralle, couronnée d’une Renommée en plomb doré due à Louis-Simon Boizot, se trouve aujourd’hui dans le jardin de l’hôtel Carnavalet. L’ensemble du monument a été déplacé et surélevé en 1858, lors de l’agrandissement de la place.
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Étienne Bouhot, La Place et la fontaine du Châtelet, Salon de 1810 © Musée Carnavalet / Paris Musées
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Jan 01 1970 GMT00:33
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English translation below
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🇫🇷
Ces prochaines semaines, le musée invite les anciens collaborateurs de la maison de couture Yves Saint Laurent à partager leurs coups de cœur : cette semaine, Paule Monory, Assistante au studio, qui travailla pour Monsieur Saint Laurent de 1979 à 2002.
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Deux chiens accompagnaient leur maitre au studio : Moujik, un dog Français, et Hazel une Chihuahua, petite mais encore plus redoutée car de réputation croqueuse de mollets. Quand je suis entrée au studio pour être présentée à Monsieur Saint Laurent, terriblement intimidée, Moujik et Hazel se sont vite approchés de moi. J’étais tétanisée. Je me suis assise à mon bureau et Moujik s’est mis à me renifler avec méfiance puis s’est frotté à ma jambe… Je n’osais pas bouger, jusqu’à ce que son maître le rappelle annonçant à tous en riant « Paule est acceptée » !
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🇬🇧
During the next few weeks, the museum will be inviting members of its staff and other collaborators to post images that have caught their eye to the museum's Instagram account. This week, we’ve invited Paule Monory, Studio assistant, who worked for Monsieur Saint Laurent from 1979 to 2002.
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Two dogs would accompany the great couturier to his studio: Moujik, a French bulldog, and a Chihuahua named Hazel. Despite her teeny size, the latter was the more dreaded of the two, as Hazel loved to bite ankles. When I entered the studio for the first time to be introduced to Monsieur Saint Laurent, feeling terribly intimidated, Moujik and Hazel immediately came up to me. I was frozen in my tracks. After sitting down at my desk, a wary Moujik began sniffing me, then rubbed himself against my leg. I didn’t dare move until his master called him away, while laughingly announcing to everyone present, “Paule has been accepted!”
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Photos © DR ; Guy Marineau (2) et Fondation Pierre Bergé - Yves Saint Laurent
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Jan 01 1970 GMT00:33
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Mais où est @romainjl ?
Merci pour votre visite 😎 
Jan 01 1970 GMT00:33
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Cet après midi, les enfants étaient au rendez-vous au musée Delacroix pour découvrir l'histoire du peintre Eugène Delacroix à travers un butaï, petit théâtre japonais !
Jan 01 1970 GMT00:33
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Rien de moins surprenant qu’un ! Encore que…
Celui-ci comporte un compartiment, qui passe presque inaperçu à travers les motifs ajourés. Une fois ouvert, il dévoile un petit miroir. Pratique, non ? 😉
Peigne à miroirs, début du 16e siècle, Cl. 21282.
Jan 01 1970 GMT00:33
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🍂 Réalisée à Jingdezhen vers 1640-1680, cette splendide céramique présente un décor de vignes et de raisins, fruit très apprécié en Chine notamment sous la dynastie Ming (1368-1644).
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Jan 01 1970 GMT00:33
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📷👻 Connaissez-vous la photographie spirite ? Il s’agit de photographies sur lesquelles apparaissent, après le développement, des présences fantomatiques, souvent entourées d’un halo blanc. À une époque où les clichés post-mortem étaient relativement communs, ces photographies spirites ont connu un immense succès !
Jan 01 1970 GMT00:33
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l EN CE MOMENT l Découvrez les expositions du ! 🎨
Jusqu’au 10/01/2021 :
● Exposition Victor Brauner, Je suis le rêve. Je suis l’inspiration.
● Exposition Sarah Moon, PasséPrésent
● Exposition Hubert Duprat
Plus d’informations sur le site internet du !
Jan 01 1970 GMT00:33
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l EN CE MOMENT l Découvrez les expositions du ! 🎨
Jusqu’au 10/01/2021 :
● Exposition Victor Brauner, Je suis le rêve. Je suis l’inspiration.
● Exposition Sarah Moon, PasséPrésent
● Exposition Hubert Duprat
Plus d’informations sur le site internet du !
Jan 01 1970 GMT00:33
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l EN CE MOMENT l Découvrez les expositions du ! 🎨
Jusqu’au 10/01/2021 :
● Exposition Victor Brauner, Je suis le rêve. Je suis l’inspiration.
● Exposition Sarah Moon, PasséPrésent
● Exposition Hubert Duprat
Plus d’informations sur le site internet du !
Jan 01 1970 GMT00:33
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🎨 Dans l'exposition « Picasso et la bande dessinée », il y a... CLÉMENT OUBRERIE Clément Oubrerie, né en 1966, suit à Paris des études d'arts graphiques avant de passer deux ans aux États-Unis où il publie ses premiers livres pour enfants. De retour en France, il signe une quarantaine d'albums illustrés et obtient notamment le prix du livre de presse de Montreuil en 2003 pour « Les Mille Mots de l'info ». En 2005, il crée avec Marguerite Abouet la série « Aya de Yopougon », adapté en film d’animation au cinéma en 2012. 🎥 Dès 2007, il débute déjà dans le film d’animation avec la réalisation de « Moot-Moot » avec Éric et Ramzy, Prix de la meilleure série d'animation au festival d'Annecy en 2008. Il entame en 2011 sa collaboration avec Julie Birmant pour la série « Pablo », qui traite des premières années de Picasso à Paris. 🐓
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👀 A votre avis, quel pourrait être ce portrait de femme qui s'envole du portefolio de Picasso ? 💑
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📷 Clément Oubrerie, "Pablo, Illustration originale", reprise à l’encre de la couverture pour l’intégrale, Encre de Chine, dessin, 41,2 x 56,3 cm, © Galerie Daniel Maghen
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́e 
Jan 01 1970 GMT00:33
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Merci @marina_divine pour cette magnifique photo dans une des salles du @museedelillusion_paris ! Vous êtes divine ❤️ 
Jan 01 1970 GMT00:33
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[LES PODCASTS DU MAD] 🎧
Lors d'une conférence organisée en juin 2010, l’architecte et designer Andrea Branzi proposait d’envisager la crise comme un temps d’innovations face aux défaillances : la ville doit être vue comme un laboratoire et non un « royaume » des formes rigides et immuables. Le design, par sa capacité d’adaptation, peut faire évoluer cette situation…
À écouter sur Soundcloud > https://soundcloud.com/user-800161761/rencontre-avec-andrea-branzi
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́e ́edesartsdécoratifs ́rences ́rence 
Jan 01 1970 GMT00:33
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[] Saviez-vous que la reine Victoria avait visité l’église du Dôme des Invalides ? Et que l’œuvre « Visite de la reine Victoria aux Invalides » par Boutigny fait l’objet d’une restauration ?
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Visuel 1
Après le retour des cendres de Napoléon Ier en 1840, de nombreuses personnalités politiques et des chefs d’Etat se sont rendus aux Invalides pour rendre hommage au vainqueur d’Austerlitz. Parmi eux, se trouve la reine Victoria, reine du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande, en visite en France durant l’été 1855. Le musée de l’Armée conserve un témoignage de son passage grâce à une toile d’Emile Paul Boutigny (1854-1929) réalisée entre 1875 et 1900.
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Visuel 2
La reine Victoria arrive en France le 18 août 1855. La souveraine et son époux, le prince Albert de Saxe-Cobourg, sont invités par Napoléon III et son épouse à visiter Paris à l’occasion de l’Exposition Universelle de 1855. Cette photographie de 1855, conservée au musée de l’Armée, montre leur arrivée à la gare de l’Est.
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Visuel 3
Ce séjour à Paris est ponctué de cérémonies officielles et de nombreuses visites de monuments. La reine Victoria émet notamment le souhait de se rendre aux Invalides pour y honorer la mémoire de Napoléon Ier.
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Visuel 4
La reine, accompagnée de son époux, est accueillie par le général comte d’Ornano, gouverneur des Invalides, et des membres du gouvernement. Elle s’inclinera devant le cercueil de Napoléon Ier, un geste qui témoigne de la postérité de l’Empereur.
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Visuel 5
A cette date, le cercueil de Napoléon est placé dans la chapelle Saint-Jérôme du Dôme des Invalides en attendant que soient terminés les travaux de construction de son tombeau par l’architecte Visconti.
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Cette toile fait actuellement l’objet d’une restauration dans le cadre de la souscription pour la restauration des monuments napoléoniens aux Invalides.
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(C) Paris - Musée de l'Armée, Dist. RMN-Grand Palais / image musée de l'Armée
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Jan 01 1970 GMT00:33
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Détail du carton pour le tableau « Europe » ( H 1.75m ; L 1.26m ), en réserve.
Selon la plupart des récits, Europe est la fille des souverains de Tyr en Phénicie, l’actuel Liban. D’une grande beauté, elle est convoitée par Zeus. Le roi des dieux se travestit en taureau blanc pour l’approcher sur une plage où elle se balade. Quand Europe s’approche pour le caresser le taureau se couche l’invitant à monter sur son dos. Zeus kidnappe Europe et s’enfuit en traversant la mer jusqu’en Crète.
Europe est le plus souvent représentée regardant au loin, tournée vers sa terre natale. Les frères d’Europe partent à sa recherche et leurs périples donnent lieu à plusieurs exploits : découvertes, colonisations et fondations de cités. Le mythe d’Europe et la fondation de cités grecques par ses frères sont sources d’inspiration pour nombre d’artistes.
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Source : Elsa Mourgues ( FranceCulture.fr ) 
Jan 01 1970 GMT00:33
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🔍 FOCUS SUR // FOCUS ON 🔎
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Jules Bastien-Lepage, "Les foins [Hay Making]" (1877) - 180x195 cm
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Bastien-Lepage s'est fait une spécialité des scènes agrestes, loin des mièvreries pastorales dont le Salon abondait. "Les foins" suscita l'enthousiasme de Zola, qui y voyait le chef-d'œuvre du naturalisme en peinture et qualifiait son auteur de "petit-fils de Millet et de Courbet".
L'artiste traduit l'épopée des campagnes françaises, et dépeint les paysans dans leur simplicité et leur accablement : la jeune femme porte sur son visage une expression hagarde, marquée par l'épuisement.
Le tableau remporte un vif succès au salon de 1878. La composition en est audacieuse, photographique avec une ligne d'horizon inhabituellement haute. Ces effets de perspective accélérée, la palette claire, le cadrage rapproché sur les personnages constituent, au sein même du naturalisme, des signes de modernité.
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Bastien-Lepage specialised in agricultural scenes which were a far remove from the affected pastoral scenes that cluttered the Salon. Zola was excited by "Hay Making", seeing it as the masterpiece of naturalism in painting and the artist as the "grandson of Millet and Courbet".
Bastien-Lepage has powerfully captured the epic of the French countryside and depicted the peasants in their simplicity and despondency: the young woman is haggard with weariness.
The painting was very popular at the 1878 Salon. The composition is daringly photographic with the horizon unusually high. The effects of accelerated perspective, the light palette, and close framing of the figures are signs of modernity within the naturalist approach.
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📷 RMN-Grand Palais (Musée d'Orsay) / Hervé Lewandowski
Jan 01 1970 GMT00:33
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🍂 Cette robe de théâtre nô confectionnée en soie date de la 2e moitié du 18e siècle et a été tissée pour un rôle de femme (joué par un homme, comme le veut la tradition). Dans le théâtre nô, il n’y a pas de décor sur scène, c’est pourquoi les costumes sont très importants : les motifs tissés ou brodés permettent d'identifier les personnages, leur âge, leur humeur mais aussi la saison où se passe l’action par exemple. Cette robe évoque l'automne avec un motif de feuilles d'érables.
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Jan 01 1970 GMT00:33
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Comme une petite souris 🐭
Glissez-vous un instant au plus près de notre autel d'or pour admirer la finesse de sa gravure 😍
Autel d'or provenant de la cathédrale de début du 11e siècle, Cl. 2350.
Jan 01 1970 GMT00:33
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🇫🇷 Bravo @paulyceute pour cette magnifique capture du en fleurs ! 😍
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🌳🌸 Vous aussi, partagez votre plus belle photo du jardin des Tuileries avec et tentez de remporter un Tea Time pour deux personnes à l’Hôtel @lemeuriceparis suivi d’une visite exclusive du jardin des Tuileries.
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🌎 Congrats @paulyceute for this great shot of the in flower! 😍
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🌳🌸 You too, share your best photo of the Tuileries garden with the hashtag ! Up for grabs: a Tea Time for two at the 5-star luxury hotel @lemeuriceparis followed by a private tour of the Tuileries Garden.
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́eDuLouvre 
Jan 01 1970 GMT00:33
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[̀ : 10 octobre 1916] L’année 1916 est marquée par plusieurs épisodes sanglants de la première guerre mondiale dont la bataille de la Somme (juillet-novembre 1916). Cette photographie aérienne anonyme, témoignage de l’importance de ce conflit, représente l’attaque du 10 octobre 1916 au bois Hart dans la Somme.
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Il s'agit d'une vue oblique permettant d'embrasser le terrain en profondeur et de voir chaque aspect du terrain avec précision, jusqu'aux soldats sortis des tranchées en train de courir sur le no man's land.
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(C) Paris - Musée de l'Armée, Dist. RMN-Grand Palais / image musée de l'Armée
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Jan 01 1970 GMT00:33
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Dans ce nouvel épisode de notre série "Mon objet préféré", Jean-Pierre, qui travaille au service des publics, vous présente un énigmatique vase libellule signé Émile Gallé.
Découvrez nos autres objets préférés > https://bit.ly/objetprefere
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́e ́edesartsdécoratifs ́ ́milegallé 
Jan 01 1970 GMT00:33
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Détail de la toile « Léda » ( H 1.90m ; L 1.03m ).
« Le cygne-roi, sa tête posée sur celle de la femme élue, dans une attitude souveraine, incarne en elle sa blancheur et sa divinité. Elle, attentive, penchée sur son rêve, demeure immobile sous cette incantation divine. C’est l’auguste sommeil qui précède les transfigurations. Toute en grâce dans sa puissance et dans sa force. Camélia blanc sous le lys blanc. Deux génies porteurs du diadème et de la foudre, cariatides vivantes, présentent à Léda, à la fille de Thestius, les emblèmes de la puissance. » Gustave Moreau
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Jan 01 1970 GMT00:33
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Pendant les vacances scolaires, le musée de l’illusion proposera des animations spéciales Halloween 
Jan 01 1970 GMT00:33
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Bientôt au Musée de l’illusion de Paris 
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Bella ! yasmine_allt 
Jan 01 1970 GMT00:33
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Visitez l’expo photo ̂treBeau et écouvrez 26 photographies grand format qui permettent d’engager une réflexion sur l’image de soi et la place de l’Autre dans la société.
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Pendant trois ans, Frédérique Deghelt, écrivaine, et Astrid di Crollalanza, photographe, ont donné image et parole à ceux qui ne sont généralement pas représentables, pas audibles, et que nous appelons « handicapés », sans jamais donner à ce mot une autre définition que celle d’un manque.
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Un corps-à-corps avec notre condition humaine… Parce qu’être beau, c’est être soi.
Plus d’infos 👉 bit.ly/ExpoEtreBeau
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⚠️ Réservez votre billet excusivement en ligne sur muséedelhomme.fr
📸 Astrid di Crollalanza / JC Domenech
́e @_etrebeau_ ́e #
Jan 01 1970 GMT00:33
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🤓 Connaissez vous tout ce qu'il y a à savoir sur le musée Eugène Delacroix ?
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Nous vous donnons rendez-vous tous les jours à 10h30 et 15h30 avec notre équipe d'agents d'accueil pour découvrir les secrets et anecdotes du musée.
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👉 Réservez votre créneau de visite au 01 44 41 86 50
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(c) Musée du Louvre /Florence Brochoire
́e 
Jan 01 1970 GMT00:33
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😴 Le thème du lieu rêvé et extraordinaire est récurrent dans l’art brut. On le trouve chez Lesage, Simon et Crépin mais aussi évidemment chez le Facteur Cheval qui a créé de ses mains son Palais Idéal, ou encore chez Victorien Sardou qui dessinait les demeures célestes des esprits avec lesquels il communiquait.
Victorien Sardou, La Maison du prophète Elie, vers 1857, encre sur papier, 47 x 60 cm, Collection particulière
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Le Saviez-vous ?
Amateur de musées, le jeune Manet voyage en Hollande, en Allemagne, en Autriche et en Italie à la découverte des chefs-d’œuvre de la peinture européenne. À vingt-quatre ans, il entreprend la copie d’un des plus célèbres Titien du musée du Louvre : La Venus du Pardo, dite aussi Jupiter et Antiope. D’un format plus réduit que l’original, l’étude de Manet est de belle qualité. Elle est un témoignage précoce des talents de coloriste du français. Élève entre 1850 et 1856 du peintre Thomas Couture, Manet reçoit une formation artistique classique dont la copie fait partie intégrante. Toutefois, le rapport de Manet aux grands maîtres ne se limite pas à ce simple exercice. Il puise chez les anciens les éléments de ses compositions futures. Ainsi la pose de l’Antiope alanguie de ce tableau n’est pas sans lien avec celle de La Vénus d’Urbin que Manet admire à Florence et qui lui inspirera quelques années plus tard Olympia (1863, Paris, musée d’Orsay).
A regular visitor to the Louvre, the young Manet also traveled in Holland, Germany, Austria, and Italy, hunting down the masterpieces of European painting. At twenty- four, he copied one of the most famous Titians in the Louvre, the Pardo Venus, also called Jupiter and Antiope. Manet’s study is smaller than the original and quite well done. The piece is evidence of his talents as a colorist. Between 1850 and 1856, Manet was the student of the painter Thomas Couture, and received a classical education, an integral part of which involved copying the works of earlier masters. His relationship with the great artists of the past, however, went further than this simple exercise; he also took from them elements of his later compositions. Thus the languid pose of Antiope in this picture is not unrelated to the reclining Venus in The Venus of Urbino, which Manet admired in Florence and which, a few years later, would inspire his Olympia (1863, Paris, Musée d’Orsay).
Édouard Manet (1832-1883),
d’après Titien (1488/1489-1576)
Jupiter et Antiope,
1856, Huile sur toile, 47 × 85 cm
© Musée Marmottan Monet, Paris
Jan 01 1970 GMT00:33
captions
Le Saviez-vous ?
Amateur de musées, le jeune Manet voyage en Hollande, en Allemagne, en Autriche et en Italie à la découverte des chefs-d’œuvre de la peinture européenne. À vingt-quatre ans, il entreprend la copie d’un des plus célèbres Titien du musée du Louvre : La Venus du Pardo, dite aussi Jupiter et Antiope. D’un format plus réduit que l’original, l’étude de Manet est de belle qualité. Elle est un témoignage précoce des talents de coloriste du français. Élève entre 1850 et 1856 du peintre Thomas Couture, Manet reçoit une formation artistique classique dont la copie fait partie intégrante. Toutefois, le rapport de Manet aux grands maîtres ne se limite pas à ce simple exercice. Il puise chez les anciens les éléments de ses compositions futures. Ainsi la pose de l’Antiope alanguie de ce tableau n’est pas sans lien avec celle de La Vénus d’Urbin que Manet admire à Florence et qui lui inspirera quelques années plus tard Olympia (1863, Paris, musée d’Orsay).
A regular visitor to the Louvre, the young Manet also traveled in Holland, Germany, Austria, and Italy, hunting down the masterpieces of European painting. At twenty- four, he copied one of the most famous Titians in the Louvre, the Pardo Venus, also called Jupiter and Antiope. Manet’s study is smaller than the original and quite well done. The piece is evidence of his talents as a colorist. Between 1850 and 1856, Manet was the student of the painter Thomas Couture, and received a classical education, an integral part of which involved copying the works of earlier masters. His relationship with the great artists of the past, however, went further than this simple exercise; he also took from them elements of his later compositions. Thus the languid pose of Antiope in this picture is not unrelated to the reclining Venus in The Venus of Urbino, which Manet admired in Florence and which, a few years later, would inspire his Olympia (1863, Paris, Musée d’Orsay).
Édouard Manet (1832-1883),
d’après Titien (1488/1489-1576)
Jupiter et Antiope,
1856, Huile sur toile, 47 × 85 cm
© Musée Marmottan Monet, Paris
Jan 01 1970 GMT00:33
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Amateur de musées, le jeune Manet voyage en Hollande, en Allemagne, en Autriche et en Italie à la découverte des chefs-d’œuvre de la peinture européenne. À vingt-quatre ans, il entreprend la copie d’un des plus célèbres Titien du musée du Louvre : La Venus du Pardo, dite aussi Jupiter et Antiope. D’un format plus réduit que l’original, l’étude de Manet est de belle qualité. Elle est un témoignage précoce des talents de coloriste du français. Élève entre 1850 et 1856 du peintre Thomas Couture, Manet reçoit une formation artistique classique dont la copie fait partie intégrante. Toutefois, le rapport de Manet aux grands maîtres ne se limite pas à ce simple exercice. Il puise chez les anciens les éléments de ses compositions futures. Ainsi la pose de l’Antiope alanguie de ce tableau n’est pas sans lien avec celle de La Vénus d’Urbin que Manet admire à Florence et qui lui inspirera quelques années plus tard Olympia (1863, Paris, musée d’Orsay).
A regular visitor to the Louvre, the young Manet also traveled in Holland, Germany, Austria, and Italy, hunting down the masterpieces of European painting. At twenty- four, he copied one of the most famous Titians in the Louvre, the Pardo Venus, also called Jupiter and Antiope. Manet’s study is smaller than the original and quite well done. The piece is evidence of his talents as a colorist. Between 1850 and 1856, Manet was the student of the painter Thomas Couture, and received a classical education, an integral part of which involved copying the works of earlier masters. His relationship with the great artists of the past, however, went further than this simple exercise; he also took from them elements of his later compositions. Thus the languid pose of Antiope in this picture is not unrelated to the reclining Venus in The Venus of Urbino, which Manet admired in Florence and which, a few years later, would inspire his Olympia (1863, Paris, Musée d’Orsay).
Édouard Manet (1832-1883),
d’après Titien (1488/1489-1576)
Jupiter et Antiope,
1856, Huile sur toile, 47 × 85 cm
© Musée Marmottan Monet, Paris
Jan 01 1970 GMT00:33
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Amateur de musées, le jeune Manet voyage en Hollande, en Allemagne, en Autriche et en Italie à la découverte des chefs-d’œuvre de la peinture européenne. À vingt-quatre ans, il entreprend la copie d’un des plus célèbres Titien du musée du Louvre : La Venus du Pardo, dite aussi Jupiter et Antiope. D’un format plus réduit que l’original, l’étude de Manet est de belle qualité. Elle est un témoignage précoce des talents de coloriste du français. Élève entre 1850 et 1856 du peintre Thomas Couture, Manet reçoit une formation artistique classique dont la copie fait partie intégrante. Toutefois, le rapport de Manet aux grands maîtres ne se limite pas à ce simple exercice. Il puise chez les anciens les éléments de ses compositions futures. Ainsi la pose de l’Antiope alanguie de ce tableau n’est pas sans lien avec celle de La Vénus d’Urbin que Manet admire à Florence et qui lui inspirera quelques années plus tard Olympia (1863, Paris, musée d’Orsay).
A regular visitor to the Louvre, the young Manet also traveled in Holland, Germany, Austria, and Italy, hunting down the masterpieces of European painting. At twenty- four, he copied one of the most famous Titians in the Louvre, the Pardo Venus, also called Jupiter and Antiope. Manet’s study is smaller than the original and quite well done. The piece is evidence of his talents as a colorist. Between 1850 and 1856, Manet was the student of the painter Thomas Couture, and received a classical education, an integral part of which involved copying the works of earlier masters. His relationship with the great artists of the past, however, went further than this simple exercise; he also took from them elements of his later compositions. Thus the languid pose of Antiope in this picture is not unrelated to the reclining Venus in The Venus of Urbino, which Manet admired in Florence and which, a few years later, would inspire his Olympia (1863, Paris, Musée d’Orsay).
Édouard Manet (1832-1883),
d’après Titien (1488/1489-1576)
Jupiter et Antiope,
1856, Huile sur toile, 47 × 85 cm
© Musée Marmottan Monet, Paris
Jan 01 1970 GMT00:33
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Amateur de musées, le jeune Manet voyage en Hollande, en Allemagne, en Autriche et en Italie à la découverte des chefs-d’œuvre de la peinture européenne. À vingt-quatre ans, il entreprend la copie d’un des plus célèbres Titien du musée du Louvre : La Venus du Pardo, dite aussi Jupiter et Antiope. D’un format plus réduit que l’original, l’étude de Manet est de belle qualité. Elle est un témoignage précoce des talents de coloriste du français. Élève entre 1850 et 1856 du peintre Thomas Couture, Manet reçoit une formation artistique classique dont la copie fait partie intégrante. Toutefois, le rapport de Manet aux grands maîtres ne se limite pas à ce simple exercice. Il puise chez les anciens les éléments de ses compositions futures. Ainsi la pose de l’Antiope alanguie de ce tableau n’est pas sans lien avec celle de La Vénus d’Urbin que Manet admire à Florence et qui lui inspirera quelques années plus tard Olympia (1863, Paris, musée d’Orsay).
A regular visitor to the Louvre, the young Manet also traveled in Holland, Germany, Austria, and Italy, hunting down the masterpieces of European painting. At twenty- four, he copied one of the most famous Titians in the Louvre, the Pardo Venus, also called Jupiter and Antiope. Manet’s study is smaller than the original and quite well done. The piece is evidence of his talents as a colorist. Between 1850 and 1856, Manet was the student of the painter Thomas Couture, and received a classical education, an integral part of which involved copying the works of earlier masters. His relationship with the great artists of the past, however, went further than this simple exercise; he also took from them elements of his later compositions. Thus the languid pose of Antiope in this picture is not unrelated to the reclining Venus in The Venus of Urbino, which Manet admired in Florence and which, a few years later, would inspire his Olympia (1863, Paris, Musée d’Orsay).
Édouard Manet (1832-1883),
d’après Titien (1488/1489-1576)
Jupiter et Antiope,
1856, Huile sur toile, 47 × 85 cm
© Musée Marmottan Monet, Paris
Jan 01 1970 GMT00:33
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Amateur de musées, le jeune Manet voyage en Hollande, en Allemagne, en Autriche et en Italie à la découverte des chefs-d’œuvre de la peinture européenne. À vingt-quatre ans, il entreprend la copie d’un des plus célèbres Titien du musée du Louvre : La Venus du Pardo, dite aussi Jupiter et Antiope. D’un format plus réduit que l’original, l’étude de Manet est de belle qualité. Elle est un témoignage précoce des talents de coloriste du français. Élève entre 1850 et 1856 du peintre Thomas Couture, Manet reçoit une formation artistique classique dont la copie fait partie intégrante. Toutefois, le rapport de Manet aux grands maîtres ne se limite pas à ce simple exercice. Il puise chez les anciens les éléments de ses compositions futures. Ainsi la pose de l’Antiope alanguie de ce tableau n’est pas sans lien avec celle de La Vénus d’Urbin que Manet admire à Florence et qui lui inspirera quelques années plus tard Olympia (1863, Paris, musée d’Orsay).
A regular visitor to the Louvre, the young Manet also traveled in Holland, Germany, Austria, and Italy, hunting down the masterpieces of European painting. At twenty- four, he copied one of the most famous Titians in the Louvre, the Pardo Venus, also called Jupiter and Antiope. Manet’s study is smaller than the original and quite well done. The piece is evidence of his talents as a colorist. Between 1850 and 1856, Manet was the student of the painter Thomas Couture, and received a classical education, an integral part of which involved copying the works of earlier masters. His relationship with the great artists of the past, however, went further than this simple exercise; he also took from them elements of his later compositions. Thus the languid pose of Antiope in this picture is not unrelated to the reclining Venus in The Venus of Urbino, which Manet admired in Florence and which, a few years later, would inspire his Olympia (1863, Paris, Musée d’Orsay).
Édouard Manet (1832-1883),
d’après Titien (1488/1489-1576)
Jupiter et Antiope,
1856, Huile sur toile, 47 × 85 cm
© Musée Marmottan Monet, Paris
Jan 01 1970 GMT00:33
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l FOCUS SUR l Victor Brauner “Je suis le rêve. Je suis l’inspiration.” au
Le Musée d’Art Moderne de Paris consacre à Victor Brauner (1903-1966), figure singulière du surréalisme, une importante monographie regroupant plus d’une centaine d’œuvres, peintures et dessins, dont certaines montrées en France pour la première fois depuis la dernière rétrospective à Paris au musée national d’art moderne en 1972.
en ce moment et jusqu’au 10 janvier 2021
Informations et billetterie sur le site du musée.
Pour le confort de tous, la réservation en ligne est fortement recommandée, surtout le week-end.
Portrait d’André Breton, 1934
Musée d’ Art Moderne de Paris
📷 Paris Musées / Musée d’ Art Moderne de Paris
© Adagp, Paris, 2020
Sur le motif, 1937
📷 Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / image Centre Pompidou, MNAM-CCI
© Adagp, Paris, 2020
La rencontre du 2 bis rue Perrel, 1946
📷 Paris Musées / Musée d’ Art Moderne de Paris
© Adagp, Paris, 2020
Jan 01 1970 GMT00:33
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l FOCUS SUR l Victor Brauner “Je suis le rêve. Je suis l’inspiration.” au
Le Musée d’Art Moderne de Paris consacre à Victor Brauner (1903-1966), figure singulière du surréalisme, une importante monographie regroupant plus d’une centaine d’œuvres, peintures et dessins, dont certaines montrées en France pour la première fois depuis la dernière rétrospective à Paris au musée national d’art moderne en 1972.
en ce moment et jusqu’au 10 janvier 2021
Informations et billetterie sur le site du musée.
Pour le confort de tous, la réservation en ligne est vivement recommandée, surtout le week-end.
Portrait d’André Breton, 1934
Musée d’ Art Moderne de Paris
📷 Paris Musées / Musée d’ Art Moderne de Paris
© Adagp, Paris, 2020
Sur le motif, 1937
📷 Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / image Centre Pompidou, MNAM-CCI
© Adagp, Paris, 2020
La rencontre du 2 bis rue Perrel, 1946
📷 Paris Musées / Musée d’ Art Moderne de Paris
© Adagp, Paris, 2020
Jan 01 1970 GMT00:33
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[̀ : 9 octobre 1896] Ce tableau du peintre Jean-Baptiste Edouard Detaille commémore la revue du camp de Châlons par le tsar Nicolas II et le président de la République Félix Faure, le 9 octobre 1896.
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Cette œuvre, exposée dans le parcours permanent du Musée, représente la grande revue organisée au camp de Châlons à l'occasion de la visite officielle du tsar Nicolas II et de la tsarine Maria Feodorovna en France en octobre 1896. La revue mettait en scène 80 000 soldats des 6ème et 7ème corps d'armée.
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(C) Paris - Musée de l'Armée, Dist. RMN-Grand Palais / Thierry Ollivier
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Jan 01 1970 GMT00:33
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Le Musée d’Art Moderne de Paris consacre à Victor Brauner (1903-1966), figure singulière du surréalisme, une importante monographie regroupant plus d’une centaine d’œuvres, peintures et dessins, dont certaines montrées en France pour la première fois depuis la dernière rétrospective à Paris au musée national d’art moderne en 1972.
en ce moment et jusqu’au 10 janvier 2021
Informations et billetterie sur le site du musée.
Pour le confort de tous, la réservation en ligne est vivement recommandée, surtout le week-end.
Portrait d’André Breton, 1934
Musée d’ Art Moderne de Paris
📷 Paris Musées / Musée d’ Art Moderne de Paris
© Adagp, Paris, 2020
Sur le motif, 1937
📷 Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / image Centre Pompidou, MNAM-CCI
© Adagp, Paris, 2020
La rencontre du 2 bis rue Perrel, 1946
📷 Paris Musées / Musée d’ Art Moderne de Paris
© Adagp, Paris, 2020
