Compte officiel de la maison/musée du peintre symboliste Gustave Moreau 1826/1898.
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Jan 01 1970 GMT00:33
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Aujourd’hui, une vue de l’atelier du troisième étage.
« Il faudrait abandonner cette idée si fausse et si rabattue et si dangereuse que l’artiste doit être le reflet de son temps et des tendances de son époque. Il est [de toute] ne peut se faire que l’homme puissant à une source impure soit condamnée, lorsqu’il s’apercevra [du] danger qu’il court, à continuer d’y puiser. Il ne peut se faire que l’homme qui, du berceau jusqu’à l’âge où le cerveau et l’âme produisent, a grandi au contact d’un certain ordre d’idées et de sentiments infusant toute une génération, ne garde fatalement cette empreinte durant le cours de toute sa vie.
Il ne peut pas arriver que l’intelligence qui devance son siècle ou le domine soit enchaînée aux faiblesses et aux turpitudes de ce siècle, tout en ne pouvant nier son existence et en saisissant l’esprit général. Voilà donc l’artiste vrai, le seul : c’est celui qui, tout en appartenant à son époque, ne parle pas pour cette époque, et, respectant les vérités [profondes] [mot illisible] du passé, et prophète des rêves de l’avenir, force l’intelligence humaine à oublier les animaux et plantes [?], réalités du présent. » Gustave Moreau
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Détail du carton pour le tableau « Europe » ( H 1.75m ; L 1.26m ), en réserve.
Selon la plupart des récits, Europe est la fille des souverains de Tyr en Phénicie, l’actuel Liban. D’une grande beauté, elle est convoitée par Zeus. Le roi des dieux se travestit en taureau blanc pour l’approcher sur une plage où elle se balade. Quand Europe s’approche pour le caresser le taureau se couche l’invitant à monter sur son dos. Zeus kidnappe Europe et s’enfuit en traversant la mer jusqu’en Crète.
Europe est le plus souvent représentée regardant au loin, tournée vers sa terre natale. Les frères d’Europe partent à sa recherche et leurs périples donnent lieu à plusieurs exploits : découvertes, colonisations et fondations de cités. Le mythe d’Europe et la fondation de cités grecques par ses frères sont sources d’inspiration pour nombre d’artistes.
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Source : Elsa Mourgues ( FranceCulture.fr )
Détail de la toile « Léda » ( H 1.90m ; L 1.03m ).
« Le cygne-roi, sa tête posée sur celle de la femme élue, dans une attitude souveraine, incarne en elle sa blancheur et sa divinité. Elle, attentive, penchée sur son rêve, demeure immobile sous cette incantation divine. C’est l’auguste sommeil qui précède les transfigurations. Toute en grâce dans sa puissance et dans sa force. Camélia blanc sous le lys blanc. Deux génies porteurs du diadème et de la foudre, cariatides vivantes, présentent à Léda, à la fille de Thestius, les emblèmes de la puissance. » Gustave Moreau
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Détail de l’œuvre « Jupiter et Sémélé » ( H 2.12m ; L 1.18m), d’après les « Métamorphoses » d’Ovide.
Les « Métamorphoses » est un poème latin écrit au premier siècle de notre ère, sous le règne d’Auguste, par Publius Ovidius Naso, dit Ovide (43 av. J.-C.-17 apr. J.-C). L’œuvre, que l’on peut qualifier d’épopée, est composée de quinze livres et compte plus de douze mille vers. Elle se propose, à travers une succession de petites fables - près de deux cent cinquante -, de raconter, de manière allégorique, l’histoire de l’humanité depuis l’origine jusqu’à l’avènement de Jules César. Ovide, qui se plaçait dans la continuité de Properce ou d’Horace, s’était déjà illustré par des poésies amoureuses et élégiaques comme Les Amours, Les Héroïdes et surtout L’Art d’aimer, avant d’être condamné à l’exil par Auguste.
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Source : junior.universalis.fr
Aujourd’hui, une vue de l’atelier du troisième étage.
Ce musée personnel, un des tout premiers à avoir existé, surprit beaucoup lorsqu’il s’entrouvrit aux premiers visiteurs quelques mois après la mort de Moreau. Ses contemporains s’attendaient en effet à y trouver des toiles semblables à celles qu’ils avaient pu voir dans des expositions de son vivant. L’artiste n’avait-il pas lui-même déclaré un jour au Sâr Péladan, qui insistait en vain pour visiter son atelier : « Les deux cents toiles que je garde, tous les ans je les revois toutes pour les parfaire, pour leur ajouter quelque chose ; car je veux que celui qui n’aurait qu’un seul de mes tableaux eût une condensation d’idéal tel qu’il s’y pût satisfaire longtemps sinon toujours. ». Mais les toiles qui sont dans le musée ont bien été réalisées pour être présentées au public, même s’il aurait aimé y travailler davantage. Ce n’est donc pas seulement un atelier qu’il voulut léguer à la postérité, mais une vision de son œuvre différente de celle qu’il montrait à ses contemporains. Ayant décidé de travailler pour lui-même et non pour le public de son époque, il a pu se livrer davantage à son amour de la couleur, à ses fantaisies de dessin, voir à des essais qui font de lui, un des précurseurs les plus lucides de l’art abstrait qui allait voir le jour quelques années après sa mort.
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Source : Pierre-Louis Mathieu
Détail de l’œuvre « Apollon et Daphné » ( H 0.32m ; L 0.25m ).
Dans ses « Métamorphoses », Ovide raconte le mythe d’Apollon et Daphné, ou comment le dieu de l’amour s’est vengé du puissant Apollon qui s’était moqué de lui. Pour le punir de son orgueil, l’Amour décoche au dieu une flèche dorée qui le fait tomber éperdument amoureux de la nymphe Daphné. Celle-ci reçoit au contraire une flèche en plomb, qui lui inspire la plus grande répulsion envers Apollon. Refusant les avances de ce dernier, elle s’enfuit. Au moment où il la rattrape et croit la posséder, Daphné appelle à l’aide son père, le dieu-fleuve Pénée, qui la transforme en laurier : « À peine a-t-elle achevé sa prière qu’une lourde torpeur s’empare de ses membres ; une mince écorce entoure son sein délicat ; ses cheveux qui s’allongent se changent en feuillage ; ses bras, en rameaux ; ses pieds, tout à l’heure si agiles, adhèrent au sol par des racines incapables de se mouvoir ; la cime d’un arbre couronne sa tête ; de ses charmes il ne reste plus que l’éclat. » Apollon, dépité, choisit alors comme attribut le laurier, daphné en grec.
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Source : panoramadelart.com
Détail de l’œuvre « Sainte Cécile » ( H 0.50m ; L 0.35m ).
« Au crépuscule du soir, la Sainte écoute les voix célestes des chérubins, sa rêverie vivante et visible. L’heure est mélancolique et l’expression de douce tristesse répandue sur le visage de la jeune fille est comme une manifestation du pressentiment de ses destinées futures glorieuses et tragiques.
[…]L’impression poétique de ce petit ouvrage, si impression poétique il y a, réside en somme dans le choix des tonalités, dans les valeurs et dans l’arabesque des lignes principales qui donnent à la composition un caractère presque religieux.
Maintenant c’est au spectateur à trouver ce qui peut lui plaire dans cette petite peinture. Toutes les descriptions n’y feront rien. Maintenant reste à savoir si la peinture éveille dans l’esprit du spectateur une impression quelconque sans l’aide des descriptions. Là c’est le point capital. » Gustave Moreau.
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Détail de l’œuvre « Madeleine au Calvaire » ( H 0.90m ; L 1.05m ).
Les données de l'Évangile sur Marie-Madeleine sont simples, mais les légendes se sont multipliées au point de former un fouillis inextricable. Magdala est un village de la rive occidentale du lac de Tibériade, au nord de la ville de ce nom. Marie de Magdala, dont on a fait Madeleine, fut guérie par Jésus, qui chassa d'elle « sept démons ». Cette expression ne signifie pas qu'elle fut de mœurs légères. Elle appartint au groupe des femmes qui suivaient Jésus et l'aidaient de leurs biens. Elle assista à la Passion, mais aucun texte ne la place au pied de la Croix. Elle était présente lors de la mise au tombeau, et, au matin de Pâques, elle fut la première à trouver le tombeau vide (Matthieu, XXVI, 6-13). Elle courut prévenir Pierre et Jean, puis revint et fut favorisée de la première apparition du Christ ressuscité. L'évangéliste Luc raconte (VII, 36-50) comment une pécheresse oignit de parfum les pieds de Jésus et les essuya avec ses cheveux. Les trois autres évangélistes connaissent une autre onction, faite à Béthanie, par Marie, la sœur de Marthe et de Lazare (Jean, XII, 1-8). Quelques Pères de l'Église hésitèrent avant d'identifier ces deux femmes avec Marie-Madeleine, mais, durant tout le Moyen Âge, en Occident, on crut qu'il n'y avait qu'une seule personne. Les Orientaux pensaient plutôt qu'il y avait trois personnes distinctes.
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Source : Jacques DUBOIS ( universalis.fr )
Aujourd’hui, une vue de l’atelier du troisième étage.
« Tout est incroyablement beau dans ce Palais que je retrouve avec Joie.
Merci pour tant de grâce. » Michael Lonsdale 9. Fev. 2016
( texte extrait du Livre d’or du musée Gustave Moreau )
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Détail de l’œuvre « Roi David » ( H 0.27m ; L 0.22m ).
David : Roi d'Israël de 1004 à 965 avant J.-C., David marqua son peuple d'une empreinte indélébile tant par ses qualités humaines que par ses réalisations politiques. Au cours d'une existence tourmentée, il fit des tribus hébraïques un royaume ayant pour capitale Jérusalem. Il exprima dans le recueil des Psaumes sa foi et son espérance dans le Dieu d'Israël. La tradition populaire juive adopta le roi David comme le roi juste par excellence, père du Messie. Le christianisme voit en Jésus le Fils de David, tandis que l'islam recueille et amplifie les traditions sur Nébī Dā'ūd, le prophète David. Liturgie juive et liturgies chrétiennes puisent le meilleur de la prière aux Psaumes de David ; les Psaumes sont un des quatre livres bibliques que connaît Muḥammed.
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Source : universalis.fr
Détail de la toile « Apollon » ( H 0.50m ; L 0.35m ).
Expression la plus haute et la plus achevée de ce que fut le génie grec, Apollon apparaît, avant même la période classique, comme un dieu proprement hellène. De même qu'Artémis, sa sœur jumelle, incarne la Nature en liberté, tantôt douce, tantôt terrible, mais toujours imprévisible, de même Apollon est l'Esprit en liberté, et sa beauté physique, sa grâce éblouissante, dont témoignent les œuvres qu'il inspira, ne sont que la liberté de l'esprit manifestée par le corps. Apollon est le dieu de la « théorie », le dieu qui voit clair et loin, dieu solaire qui enseigne la prédiction (c'est dans son temple de Delphes qu'officiait la Pythie) aussi bien que la guérison (il est père d'Esculape), dieu d'équité (Thémis l'a nourri) et d'harmonie, qui se tient au-dessus de toutes les mêlées (le combat des dieux, dans L'Iliade au chant XXI). Il élève en l'homme la part la plus sublime de lui-même, celle par laquelle, connaissant sa propre limite, il l'a du même coup transcendée (c'est là en effet une des significations du gnôthi séauton — « connais-toi toi-même » — delphique).
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Source : universalis.fr
Détail de l’œuvre « Ganymède » ( H 0.54m ; L 0.46m ).
Ganymède : Jeune héros de la race royale de Troie, fils de Tros, de Laomédon, d'Ilos ou d'Erichthonios, selon les différentes versions. À cause de son extraordinaire beauté, il fut enlevé soit par les dieux, soit plutôt par Zeus lui-même (ou bien, selon une légende crétoise, par Minos), qui en fit son échanson. Zeus envoya un aigle qui emporta l'enfant dans les airs ; le père de Ganymède reçut en échange une écurie de chevaux immortels, ou une vigne d'or. Très tôt, on a cru que son ravisseur avait eu pour Ganymède une passion homosexuelle, d'où la connotation de « mignon » que prit son nom en latin, Catamitus. Plus tard, il fut identifié à la constellation du Verseau. La légende de Ganymède prêtera à divers traitements : dans un tableau de Rembrandt, il n'est qu'un marmot épouvanté, pleurnichant entre les serres de l'aigle ; dans un poème de Goethe — qui fournira à Schubert le thème de l'un des chefs-d'œuvre de sa vingtième année —, Ganymède incarne la Sehnsucht romantique, l'ardente aspiration qui s'élance par amour vers l'infini.
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Source : universalis.fr
Détail de l’œuvre « Jupiter et Sémélé » ( H 2.12m ; L 1.18m), d’après les « Métamorphoses » d’Ovide.
Les « Métamorphoses » est un poème latin écrit au premier siècle de notre ère, sous le règne d’Auguste, par Publius Ovidius Naso, dit Ovide (43 av. J.-C.-17 apr. J.-C). L’œuvre, que l’on peut qualifier d’épopée, est composée de quinze livres et compte plus de douze mille vers. Elle se propose, à travers une succession de petites fables - près de deux cent cinquante -, de raconter, de manière allégorique, l’histoire de l’humanité depuis l’origine jusqu’à l’avènement de Jules César. Ovide, qui se plaçait dans la continuité de Properce ou d’Horace, s’était déjà illustré par des poésies amoureuses et élégiaques comme Les Amours, Les Héroïdes et surtout L’Art d’aimer, avant d’être condamné à l’exil par Auguste.
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Source : junior.universalis.fr
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Détail de l’œuvre « Madeleine au Calvaire » ( H 0.90m ; L 1.05m ).
Les données de l'Évangile sur Marie-Madeleine sont simples, mais les légendes se sont multipliées au point de former un fouillis inextricable. Magdala est un village de la rive occidentale du lac de Tibériade, au nord de la ville de ce nom. Marie de Magdala, dont on a fait Madeleine, fut guérie par Jésus, qui chassa d'elle « sept démons ». Cette expression ne signifie pas qu'elle fut de mœurs légères. Elle appartint au groupe des femmes qui suivaient Jésus et l'aidaient de leurs biens. Elle assista à la Passion, mais aucun texte ne la place au pied de la Croix. Elle était présente lors de la mise au tombeau, et, au matin de Pâques, elle fut la première à trouver le tombeau vide (Matthieu, XXVI, 6-13). Elle courut prévenir Pierre et Jean, puis revint et fut favorisée de la première apparition du Christ ressuscité. L'évangéliste Luc raconte (VII, 36-50) comment une pécheresse oignit de parfum les pieds de Jésus et les essuya avec ses cheveux. Les trois autres évangélistes connaissent une autre onction, faite à Béthanie, par Marie, la sœur de Marthe et de Lazare (Jean, XII, 1-8). Quelques Pères de l'Église hésitèrent avant d'identifier ces deux femmes avec Marie-Madeleine, mais, durant tout le Moyen Âge, en Occident, on crut qu'il n'y avait qu'une seule personne. Les Orientaux pensaient plutôt qu'il y avait trois personnes distinctes.
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Source : Jacques DUBOIS ( universalis.fr )
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Oct 06 2020 GMT05:31
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Détail de l’œuvre « Sainte Cécile » ( H 0.50m ; L 0.35m ).
« Au crépuscule du soir, la Sainte écoute les voix célestes des chérubins, sa rêverie vivante et visible. L’heure est mélancolique et l’expression de douce tristesse répandue sur le visage de la jeune fille est comme une manifestation du pressentiment de ses destinées futures glorieuses et tragiques.
[…]L’impression poétique de ce petit ouvrage, si impression poétique il y a, réside en somme dans le choix des tonalités, dans les valeurs et dans l’arabesque des lignes principales qui donnent à la composition un caractère presque religieux.
Maintenant c’est au spectateur à trouver ce qui peut lui plaire dans cette petite peinture. Toutes les descriptions n’y feront rien. Maintenant reste à savoir si la peinture éveille dans l’esprit du spectateur une impression quelconque sans l’aide des descriptions. Là c’est le point capital. » Gustave Moreau.
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Oct 09 2020 GMT07:27
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Détail de l’œuvre « Jupiter et Sémélé » ( H 2.12m ; L 1.18m), d’après les « Métamorphoses » d’Ovide.
Les « Métamorphoses » est un poème latin écrit au premier siècle de notre ère, sous le règne d’Auguste, par Publius Ovidius Naso, dit Ovide (43 av. J.-C.-17 apr. J.-C). L’œuvre, que l’on peut qualifier d’épopée, est composée de quinze livres et compte plus de douze mille vers. Elle se propose, à travers une succession de petites fables - près de deux cent cinquante -, de raconter, de manière allégorique, l’histoire de l’humanité depuis l’origine jusqu’à l’avènement de Jules César. Ovide, qui se plaçait dans la continuité de Properce ou d’Horace, s’était déjà illustré par des poésies amoureuses et élégiaques comme Les Amours, Les Héroïdes et surtout L’Art d’aimer, avant d’être condamné à l’exil par Auguste.
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Source : junior.universalis.fr
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Oct 01 2020 GMT06:47
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Détail de l’œuvre « Ganymède » ( H 0.54m ; L 0.46m ).
Ganymède : Jeune héros de la race royale de Troie, fils de Tros, de Laomédon, d'Ilos ou d'Erichthonios, selon les différentes versions. À cause de son extraordinaire beauté, il fut enlevé soit par les dieux, soit plutôt par Zeus lui-même (ou bien, selon une légende crétoise, par Minos), qui en fit son échanson. Zeus envoya un aigle qui emporta l'enfant dans les airs ; le père de Ganymède reçut en échange une écurie de chevaux immortels, ou une vigne d'or. Très tôt, on a cru que son ravisseur avait eu pour Ganymède une passion homosexuelle, d'où la connotation de « mignon » que prit son nom en latin, Catamitus. Plus tard, il fut identifié à la constellation du Verseau. La légende de Ganymède prêtera à divers traitements : dans un tableau de Rembrandt, il n'est qu'un marmot épouvanté, pleurnichant entre les serres de l'aigle ; dans un poème de Goethe — qui fournira à Schubert le thème de l'un des chefs-d'œuvre de sa vingtième année —, Ganymède incarne la Sehnsucht romantique, l'ardente aspiration qui s'élance par amour vers l'infini.
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Source : universalis.fr
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Oct 05 2020 GMT07:32
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Détail de l’œuvre « Madeleine au Calvaire » ( H 0.90m ; L 1.05m ).
Les données de l'Évangile sur Marie-Madeleine sont simples, mais les légendes se sont multipliées au point de former un fouillis inextricable. Magdala est un village de la rive occidentale du lac de Tibériade, au nord de la ville de ce nom. Marie de Magdala, dont on a fait Madeleine, fut guérie par Jésus, qui chassa d'elle « sept démons ». Cette expression ne signifie pas qu'elle fut de mœurs légères. Elle appartint au groupe des femmes qui suivaient Jésus et l'aidaient de leurs biens. Elle assista à la Passion, mais aucun texte ne la place au pied de la Croix. Elle était présente lors de la mise au tombeau, et, au matin de Pâques, elle fut la première à trouver le tombeau vide (Matthieu, XXVI, 6-13). Elle courut prévenir Pierre et Jean, puis revint et fut favorisée de la première apparition du Christ ressuscité. L'évangéliste Luc raconte (VII, 36-50) comment une pécheresse oignit de parfum les pieds de Jésus et les essuya avec ses cheveux. Les trois autres évangélistes connaissent une autre onction, faite à Béthanie, par Marie, la sœur de Marthe et de Lazare (Jean, XII, 1-8). Quelques Pères de l'Église hésitèrent avant d'identifier ces deux femmes avec Marie-Madeleine, mais, durant tout le Moyen Âge, en Occident, on crut qu'il n'y avait qu'une seule personne. Les Orientaux pensaient plutôt qu'il y avait trois personnes distinctes.
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Source : Jacques DUBOIS ( universalis.fr )
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