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– Histoire de Paris
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Ouverture printemps 2021.
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Jan 01 1970 GMT00:33
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L’ŒUVRE DE LA SEMAINE
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Le peintre Étienne Bouhot expose cette œuvre au Salon de 1810 représentant La Place et la fontaine du Châtelet.
La forteresse médiévale du Grand Châtelet est démolie de 1802 à 1810, une place est alors créée. La fontaine du Palmier, œuvre de l’ingénieur François-Jean Bralle, couronnée d’une Renommée en plomb doré due à Louis-Simon Boizot, se trouve aujourd’hui dans le jardin de l’hôtel Carnavalet. L’ensemble du monument a été déplacé et surélevé en 1858, lors de l’agrandissement de la place.
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Étienne Bouhot, La Place et la fontaine du Châtelet, Salon de 1810 © Musée Carnavalet / Paris Musées
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Jan 01 1970 GMT00:33
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CHRONIQUES DE LA VIE PARISIENNE
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Les Vendanges – La fête des Vendanges
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À l’occasion de l’Exposition universelle de 1900 une fête des vendanges est organisée.
Devant le palais de l’électricité sur les Champs-de-mars, un char tiré par des chevaux est décoré de tonneaux, de drapeaux et de sarments de vigne. À droite, au milieu d’un groupe déguisé, trône un Bacchus à califourchon sur un tonneau. 🍇
🤔Le saviez-vous ? Plantées au 12e siècle, Il y avait des vignes à Montmartre jusqu’en 1928. Elles ont été replantées en 1933 par la Ville de Paris et depuis 1934 la fête des vendanges s’y tient tous les deuxièmes week-end d’octobre !
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Photo Club de Paris, 1900 © Musée Carnavalet / Paris Musées
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Jan 01 1970 GMT00:33
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L’ŒUVRE DE LA SEMAINE
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Attribué à Boilly, ce portrait serait celui de Lucile Desmoulins (1770-1794). Marié le 29 décembre 1790, le couple Desmoulins réside place du Théâtre-Français, actuelle place de l’Odéon, dans le 6e arrondissement. Leur fils est prénommé Horace (1792-1825).
De 1788 à 1793, Lucile Desmoulins tient un journal ; soupçonnée d’intrigues contre-révolutionnaires, elle suivra de peu son époux sur l’échafaud. La réhabilitation du couple est assurée tout au long du 19e siècle par Marcellin Matton, descendant d’un cousin de Camille Desmoulins.
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Attribué à Louis-Léopold Boilly, Portrait présumé de Lucile Desmoulins, Vers 1790 © Musée Carnavalet – Histoire de Paris / Paris Musées
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Jan 01 1970 GMT00:33
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CHRONIQUES DE LA VIE PARISIENNE
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Les Vendanges – Vendémiaire
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Le saviez-vous ?
Premier mois du calendrier républicain, Vendémiaire correspond à la période s’étendant du 22 septembre au 21 octobre de notre calendrier. Il tire son nom des vendanges qui ont lieu durant cette période de l’année.
La terminologie des mois du calendrier républicain est définie par le poète Fabre d’Églantine en 1793, ce dernier s’inspire alors de la nature, du système agricole et de l’économie rurale.
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Salvadore Tresca, Vendémiaire, entre 1792 et 1806 © Musée Carnavalet – Histoire de Paris / Paris Musées
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́eCarnavalet ́volution ́publicain
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Jan 01 1970 GMT00:33
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Aujourd'hui nous célébrons François Boucher qui a vu le jour à Paris il y a 317 ans, le 29 septembre 1703.
Vers 1751, le peintre réalise cette étude pour le tableau « Jeune fille allongée », également appelé « L'Odalisque blonde », représentant une femme nue étendue sur le ventre pour la version qui est conservée à la Alte Pinakothek de Munich. Une autre version du tableau se trouve à Cologne au Wallraf Richartz Museum.
Il est considéré que le modèle est la jeune Louise O'Murphy, objet d'une courte passion du roi Louis XV et longuement dépeinte par Giacomo Casanova dans ses mémoires.
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François Boucher, Étude de pied, vers 1751 © Musée Carnavalet – Histoire de Paris / Paris Musées
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́tail ́
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Jan 01 1970 GMT00:33
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L’ŒUVRE DE LA SEMAINE
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Le peintre Raguenet, spécialiste des vues de la Seine, représente ici une des réjouissances prévues pour la naissance du duc de Bourgogne, Louis de France. Sur le fleuve, les jouteurs s’affrontent, l’enjeu étant de conquérir le point central du plan d’eau entre le pont Notre-Dame et le pont au Change.
La pompe Notre-Dame, construite en 1670, se détache devant les maisons à étages du pont Notre-Dame.
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Nicolas-Jean-Baptiste Raguenet , la Joute des mariniers, entre le pont Notre-Dame et le pont au Change (détail) 1756 © Musée Carnavalet - Histoire de Paris / Paris Musées
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CHRONIQUES DE LA VIE PARISIENNE
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L’école – Ouverture d’une école…
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Cette affiche datant de 1870 annonce la création d’une école des deux sexes et laïque dans le 5e arrondissement de Paris.
Que nous dit-elle ? « Une École laïque tenue par des Mères de famille sera ouverte lundi 14 novembre, rue LHOMOND, 33, au coin de la rue du POT-DE-FER. On se fera inscrire tous les jours de 10 heures à 4 heures. Les adhésions seront reçues à partir du jeudi 10 novembre. »
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Affiche, imprimerie De Soye et fils, en 1870 © Musée Carnavalet – Histoire de Paris / Paris Musées
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Jan 01 1970 GMT00:33
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L’OEUVRE DE LA SEMAINE
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Converti à la religion catholique, le 25 juillet 1593 à Saint-Denis, et sacré roi à Chartres, le 27 février 1594, Henri IV (1553-1610) entre dans Paris avant l’aube, le 22 mars 1594, par la porte Neuve, à l’ouest de la ville. Il se rend immédiatement à la cathédrale Notre-Dame pour assister à la messe et entendre un Te Deum.
Ici à cheval, il arrive à Paris, derrière lui, on reconnaît, à gauche, les Tuileries, à droite, le Louvre avec, au fond, la colline de Montmartre.
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Portrait d’Henri IV, roi de France, à cheval devant Paris, vers 1595 © Musée Carnavalet - Histoire de Paris / Paris Musées
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CHRONIQUES DE LA VIE PARISIENNE
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L’école - La récréation
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En rang et deux par deux !
Dessinée en 1917, cette scène se passe rue Boulard dans le 14e arrondissement de la capitale. Sous l’œil attentif de leur instituteur, les petits écoliers en costume et coiffés de leurs chapeaux, avancent sagement en rang et deux par deux devant le square. Alors que certains d’entre eux s’accrochent aux grilles du parc, tous regardent dans sa direction…
Est-il l’heure de la récréation bien méritée pour jouer au soleil ?
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Félix Brard, Écoliers devant le square de la mairie et la place des écoles, rue Boulard, 14ème arr., juillet 1917, 1917 © Musée Carnavalet – Histoire de Paris / Paris Musées
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L’OEUVRE DE LA SEMAINE
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Ce mascaron provient du Pont-Neuf qui est, en réalité, le plus ancien pont de Paris. À l’origine, il est décoré de 381 mascarons tous différents qui figurent des têtes de divinités de la mythologie antique, comme les satyres. Dans l’Antiquité, les mascarons avaient un rôle de protection des habitations et des quartiers contre les mauvais esprits, c’est dans cette même logique qu’ils ornent le pont.
Construit sur la pointe aval de la Cité, le Pont-Neuf devait suppléer au pont Notre-Dame et au pont au Change, abîmés par les différentes crues et débâcles de la Seine. Henri III en pose la première pierre en 1578. Les travaux sont interrompus par les guerres de Religion et reprennent en 1592 sur ordre d’Henri IV qui l’inaugure en 1607, suivant un dessin architectural beaucoup plus simple que le projet initialement prévu. L’ensemble constitue un des premiers projets d’aménagement urbain à Paris.
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Anonyme, mascaron du Pont-Neuf, 16e siècle © Musée Carnavalet - Histoire de Paris / Paris Musées
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CHRONIQUES DE LA VIE PARISIENNE
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L’école – En classe
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Qu’est une salle de classe au 17e siècle ?
Cette scène de genre datée de 1638 permet de s'en faire une idée… Dans cette classe uniquement composée de filles, la maîtresse, à gauche, guide d'une baguette une enfant s'exerçant à la lecture, tandis qu’au centre trois fillettes, un peu dissipées, bavardent. À droite, une grande fille accompagne sa petite sœur pour sa première leçon ! Au fond, deux écolières font une pause gourmande…
Un pendant à cette gravure représentant une classe de garçons est également conservé au musée.
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Abraham Bosse, La Maistresse d'Escole, vers 1638 © Musée Carnavalet – Histoire de Paris / Paris Musées
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Jan 01 1970 GMT00:33
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L’OEUVRE DE LA SEMAINE
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Ce médaillon fait partie des rares vestiges conservés du marché des Halles, construit au centre de Paris par l’architecte Victor Baltard. Orné des armes de la Ville de Paris, il rappelle l’action du baron Haussmann, nommé préfet de la Seine le 22 juin 1853. La devise en latin qui l’accompagne, Fluctuat nec mergitur reste inchangée aujourd’hui. En 1971, la destruction des pavillons reliés par des passages couverts après le transfert des Halles à Rungis a fait l’objet de vives polémiques. Excepté un pavillon remonté à Nogent-sur-Marne, l’ensemble a été détruit.
Les Halles de Baltard s’étendaient sur environ 33 hectares. On a employé pour la construction 700 tonnes de fer, 2 millions de briques et 48 000 mètres cubes de béton, ainsi que 600 tonnes de fonte pour les caves et 200 tonnes pour les colonnes. Douze pavillons formaient deux groupes séparés par une rue centrale à ciel ouvert. Chaque pavillon comprenait 350 boutiques.
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Médaillon d’un pavillon des halles centrales de Paris aux armes de la Ville de Paris et à la devise Fluctuat nec mergitur, Vers 1860 © Musée Carnavalet - Histoire de Paris / Paris Musées
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L’ŒUVRE DE LA SEMAINE
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Le peintre Raguenet, spécialiste des vues de la Seine, représente ici une des réjouissances prévues pour la naissance du duc de Bourgogne, Louis de France. Sur le fleuve, les jouteurs s’affrontent, l’enjeu étant de conquérir le point central du plan d’eau entre le pont Notre-Dame et le pont au Change.
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Nicolas-Jean-Baptiste Raguenet , la Joute des mariniers, entre le pont Notre-Dame et le pont au Change (détail) 1756 © Musée Carnavalet - Histoire de Paris / Paris Musées
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L’OEUVRE DE LA SEMAINE
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Ce mascaron provient du Pont-Neuf qui est, en réalité, le plus ancien pont de Paris. À l’origine, il est décoré de 381 mascarons tous différents qui figurent des têtes de divinités de la mythologie antique, comme les satyres. Dans l’Antiquité, les mascarons avaient un rôle de protection des habitations et des quartiers contre les mauvais esprits, c’est dans cette même logique qu’ils ornent le pont.
Construit sur la pointe aval de la Cité, le Pont-Neuf devait suppléer au pont Notre-Dame et au pont au Change, abîmés par les différentes crues et débâcles de la Seine. Henri III en pose la première pierre en 1578. Les travaux sont interrompus par les guerres de Religion et reprennent en 1592 sur ordre d’Henri IV qui l’inaugure en 1607, suivant un dessin architectural beaucoup plus simple que le projet initialement prévu. L’ensemble constitue un des premiers projets d’aménagement urbain à Paris.
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Sep 29 2020 GMT11:05
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Aujourd'hui nous célébrons François Boucher qui a vu le jour à Paris il y a 317 ans, le 29 septembre 1703.
Vers 1751, le peintre réalise cette étude pour le tableau « Jeune fille allongée », également appelé « L'Odalisque blonde », représentant une femme nue étendue sur le ventre pour la version qui est conservée à la Alte Pinakothek de Munich. Une autre version du tableau se trouve à Cologne au Wallraf Richartz Museum.
Il est considéré que le modèle est la jeune Louise O'Murphy, objet d'une courte passion du roi Louis XV et longuement dépeinte par Giacomo Casanova dans ses mémoires.
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François Boucher, Étude de pied, vers 1751 © Musée Carnavalet – Histoire de Paris / Paris Musées
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