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A good consistency is always a good sign.
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The average amount of comments a photo by @username gets.
The average percentage of IG users who follow @username who comment on his/her photos.
Two users might have an average of 10 comments on their photos. One got 10 comments on every single one of his photos, while the other got 2 in most of them and 200 in a couple. The first user will have a high consistency while the second one will have a low consistency.
A low comment consistency can indicate that the average amount of comments might have been affected artificially due to a promotion.
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« Oh ! là ! là ! qu'est-ce que c'est que çà ? : Encore Buster Brown et son chien » par Richard Felton Outcault.
Buster Brown est un célèbre personnage de bande dessinée, créé en 1902 par l'Américain Richard Felton Outcault et qui connut un grand succès. Chaque histoire, condensée sur une page ou deux, voit généralement une farce du jeune garçon se retourner contre lui. Buster Brown conclut alors sa mésaventure par une résolution de son cru.
Le 25 septembre à 10h, nous vous invitons à assister à la conférence en ligne « La bande dialoguée : une histoire des dialogues de bande dessinée, 1830-1960 ». Lors de cette séance, Benoît Glaude, de l’université catholique de Louvain, revient sur l’histoire des dialogues de bande dessinée de 1830 à 1960. À travers l’analyse de la voix et des corps en interactions, Benoît Glaude propose une relecture de l’histoire de la bande dessinée : https://c.bnf.fr/LbN
Pour découvrir les bêtises de Buster Brown, nous vous invitons à feuilleter l’album sur @GallicaBnF : https://c.bnf.fr/LbK
́e ́rence
"Comme je brûle sans arrêt depuis trois jours, les bureaux de la direction, comme j'ai mis en fuite avant hier après-midi Breton, Bayard, Balthus, et leurs hordes d'assassins avec les feux que je lance d'ici [...] Je ferai sauter aujourd'hui même l'observatoire de Meudon plus quelques maisons et bâtiments publics dans Paris et il n'y aura plus jamais ni argent ni héroïne pour aucun Initié."
Cette lettre de la main d’Antonin Artaud, conservée au Département des manuscrits de la BnF, a été écrite depuis l’hôpital de Ville-Évrard, où l’écrivain fut interné à partir de 1939. Artaud, qui a marqué les esprits avec son "Théâtre de la cruauté", supporte très mal cet internement. En proie à la souffrance, au manque, à ses visions délirantes, il ne cesse d’écrire, adressant des courriers à ses proches, à ses médecins, et à de nombreux ennemis, réels ou imaginaires, qu’il appelles les "initiés".
Dans la lettre présentée ici, il évoque "Breton, Bayard, Balthus" et "leurs hordes d’assassins". Dans un autre document également conservé à la BnF, Artaud livre la liste des initiés [c.bnf.fr/Lha] où l’on retrouve ces trois noms, avec ceux, entre autres, de Sonia Mossé, Salvador Dalí, Staline ou Hitler – à qui il adresse aussi une lettre-sort vers la même époque [c.bnf.fr/Lg7].
Antonin Artaud, "Aux initiés", collection Serge Malausséna, daté du 4 août 1939. Département des manuscrits, NAF 28927. Voir sur @GallicaBnF : c.bnf.fr/Lhd
De même que notre écriture imprimée trouve ses racines dans la minuscule caroline, notre écriture cursive tire sa source de la bâtarde à travers l’écriture de chancellerie des XVIe et XVIIe siècle.
Ce traité manuscrit de Jacobus Heusteus, intitulé "De jure regni anglici", donne à voir un exemple d’utilisation de cette écriture dite chancelière qui, plus facile à tracer que certaines de ses ancêtres, se distingue aussi par son élégance et sa lisibilité.
Le manuscrit de Jacobus Heusteus, conservé à la BnF sous la cote Latin 4781, était manifestement destiné par son auteur au roi François II – comme semblent l’indiquer les armes royales et la dédicace en lettres d’or au ff. 7v-8. La mort du roi, survenue le 5 décembre 1560, a dû stopper ce dessein. L'auteur destina alors son volume au cardinal de Lorraine, avec une dédicace datée du 5 septembre 1561 (Nones de septembre)...
Jacobus Heusteus, "De jure regni anglici", 1560-1561, Département des manuscrits, Latin 4781. Voir le manuscrit sur @GallicaBnF : c.bnf.fr/LgJ
Voir aussi le dossier "L’aventure des écritures" : classes.bnf.fr/ecritures/
̀re
« Les Livres des histoires du commencement du monde » est un ouvrage du XIVe siècle, réalisé sur vélin.
Le vélin, au sens strict du terme, est un parchemin confectionné avec de la peau de veau. Par extension, on appelle vélin un parchemin souple, blanc et fin, de grande qualité, fabriqué avec de la peau de veau, d’agneau ou de chevreau.
Au Moyen Âge, le vélin était réservé aux manuscrits de luxe, manuscrits à peinture en particulier, à côté du parchemin puis du papier utilisés pour les manuscrits plus courants.
L’usage du vélin se maintint aux XVe et XVIe siècles pour les exemplaires de luxe des livres imprimés, qui étaient au reste tirés sur papier ; c’est par exemple le cas des exemplaires destinés aux rois de France. Cet usage s’est conservé, bien que dans une moindre mesure, aux siècles suivants et jusqu’à l’époque contemporaine pour certains livres de bibliophilie.
Pour en savoir plus sur les vélins : https://www.bnf.fr/fr/les-velins
La maquette du célèbre ouvrage de vulgarisation historique de Montorgueil pour le texte et Job pour l'illustration, "France : son histoire" est présenté à la BnF dans le cadre des Journées du Patrimoine 2020. Cette maquette est un témoignage exceptionnel du travail de l'éditeur et de l'illustrateur. Grace à la mise en perspective de cet ouvrage avec la version éditée, on peut suivre l'évolution de la publication, de sa mise en page et de ses illustrations.
Ce volume, acquis en 2002, consiste en la maquette de mise en pages préparatoire à l’édition originale publiée en 1896. Le texte composé est découpé ligne à ligne, complété par endroits à la main, et disposé par l’illustrateur en fonction de l’emplacement et de la taille de ses dessins, réalisés au crayon, à l’encre et à l’aquarelle.
Sur cette page, vous pouvez notamment remarquer des différences de mise en page comme par exemple le texte qui ne suit plus l'inclinaison de la colline, de colorisation. La robe de France est plus détaillée et d'une autre teinte.
A l'occasion de l'édition virtuelle des Journées du Patrimoine, Carine Picaud, chargée de collections à la Réserve des livres rares de la BnF, vous guidera dans la découverte de cette maquette en la mettant en vis à vis avec la version publiée. Pour regarder cette présentation, rendez-vous sur notre page Facebook le samedi 19 septembre à 10h : https://www.facebook.com/bibliothequebnf/
Première image du feuilletoir : "France : son histoire" : [maquette] contée par G. Montorgueil ; imagée par Job, 1895. Pour retrouver l'ouvrage sur @gallicabnf https://c.bnf.fr/K7u
Seconde image du feuilletoir : "France : son histoire" racontée par G. Montorgueil ; imagée par Job, 1902. Feuilletez le livre en ligne : https://c.bnf.fr/K7x
C’est à François-Louis Schmied que l’on doit cette illustration pour une édition rare de "L’Odyssée" (traduction de Victor Bérard), publiée au début des années 1930 et conservée à la Réserve des livres rares de la BnF.
Figure de l’art déco reconnu notamment pour ses réalisations dans le domaine de l’édition pour bibliophiles, François-Louis Schmied maîtrise différentes techniques en lien avec la fabrication du livre : illustration, gravure, mais également typographie, reliure ou imprimerie. Réputé pour la qualité de ses productions, il est sollicité par la Compagnie des bibliophiles de l’Automobile club de France pour réaliser cette version de luxe de "L’Odyssée" d’Homère. Les illustrations et décors de l’ouvrage, dessinés par François-Louis Schmied, sont gravés sur bois par son fils Théo Schmied et coloriés au pochoir par Jean Saudé.
"L'Odyssée" d’Homère, volume 4, traduction de Victor Bérard, illustrations et décors de François-Louis Schmied. BnF, Réserve des livres rares, VELINS-1248. Voir sur @gallicabnf : c.bnf.fr/K8T
Cet automne, la Bibliothèque de l’Arsenal accueillera une exposition consacrée à la Société des bibliophiles françois, qui célèbre son bicentenaire. Plus d’informations : c.bnf.fr/KyH
Cet ouvrage pédagogique est un manuel visant à inculquer aux enfants les notions de base de la géographie et de l’astronomie. "L'Enfant géographe" procède par questions et réponses à apprendre, illustrées de schémas. Les éléments de géométrie, omniprésents, forment la colonne vertébrale du livre. L’absence de caractère ludique comme le niveau mathématique requis indique qu’il s’adresse à des élèves déjà avancés dans leur instruction.
Pour retrouver ce document sur @Gal@gallicabnf https://c.bnf.fr/K7r
Ce document est présenté lors des Journées du Patrimoine à la BnF le 20 septembre sur le site François-Mitterrand. Outre la programmation sur les différents sites (François-Mitterrand, Richelieu et Arsenal), une série de rendez-vous « virtuels » sera également diffusée les samedi 19 et dimanche 20 septembre (à partir de 10h) sur la page Facebook de la BnF : https://www.facebook.com/bibliothequebnf/
Vous pourrez y découvrir notamment le "Le Tour de France. Jeu instructif et amusant" et le "Recueil de 32 cartes manuscrites couvrant la France et la Péninsule ibérique conçues pour l’usage du comte d’Artois, futur Charles IX".
́ographie
L’ « Instruction pour comprendre en bref les préceptes et fondemens de la musique » est un petit ouvrage assez énigmatique, qui n’a jamais été réellement étudié. Exposé dans le cadre des Journées du Patrimoine 2020 à la BnF, et présenté en direct sur notre page Facebook le dimanche 20 septembre à 14h, voici un prélude à sa présentation.
Ce modeste ouvrage n’aborde que les notions nécessaires pour savoir chanter sa partie, l’équivalent de ce que nous appellerions le solfège. Cette orientation vers la pratique plutôt que vers la théorie, ainsi que la présence du mot « bref » dans le titre, sont plutôt caractéristiques du 16e siècle. Et de fait, aussi bien les conceptions théoriques de l’auteur que son langage paraissent fort archaïques pour 1666.
La page que nous avons choisi de vous montrer ici et d’exposer regarde elle aussi vers le passé. Elle montre la « main harmonique », outil mnémotechnique emblématique de l’apprentissage musical au Moyen Âge et à la Renaissance. À l’époque, on ne lisait pas la musique avec les sept noms en usage de nos jours, mais selon les principes de la solmisation.
On en attribue l’invention à Guido d’Arezzo, un moine et théoricien italien du 11e siècle, d’où le nom de « main guidonienne » fréquemment utilisé. Contrairement au solfège actuel, la solmisation nomme les notes d’une façon complexe. D’une part, les hauteurs fixes, correspondant à nos noms de notes actuels, sont désignées par les lettres de a à g, comme encore de nos jours en allemand et en anglais.
Pour découvrir ce document sur @gallicabnf : https://c.bnf.fr/K2g
En savoir plus sur les Journées du Patrimoine à la BnF : https://www.bnf.fr/fr/agenda/journees-europeennes-du-patrimoine
La page Facebook de la BnF : https://www.facebook.com/bibliothequebnf/
́esdupatrimoine
Dans ses "Histoires parisiennes", Marie-Madeleine Franc-Nohain (1878-1942), autrice et illustratrice de livres pour la jeunesse, retrace les tribulations de quatre enfants à travers la capitale.
Des Champs-Élysées au bassin des tuileries, des surprises du Musée Grévin à celle du métropolitain, Marie-Cécile, Michelle, Luc et Claude découvrent, au fil des chapitres et avec émerveillement, les scènes et les décors de "ce grand Paris dont on parle tant et que tout le monde veut connaître".
On retrouve ici les jeunes héros perdus au rayon chapeaux d’un grand magasin, où la découverte d’un toboggan servant à acheminer paquets et cartons font leur plus grand bonheur. Le texte qui accompagne cette illustration rappelle cependant que "si la descente commence toujours bien, elle finit quelques fois mal". De fait, il est précisé que les enfants "sentirent plutôt un choc à l’arrivée, où ils culbutaient parmi les paquets"…
Histoires parisiennes, par Marie-Madeleine Franc-Nohain, Paris, 1937.
Voir l’ouvrage sur @gallicabnf : c.bnf.fr/K1D
Durant ces dernières semaines, les équipes de la BnF ont travaillé à mettre en forme la nouvelle exposition de cet automne, consacrée au photographe Josef Koudelka – et plus particulièrement à sa série intitulée "Ruines".
Pendant plus de trente ans, Josepf Koudelka a sillonné les sites archéologiques du pourtour méditerranéen, dont il a tiré des centaines de photographies panoramiques en noir et blanc. Ce sont 110 de ces tirages que vous pourrez découvrir à partir du 15 septembre, dans une scénographie qui entend révéler toute la force et la beauté du lexique visuel de ce grand maître de la photographie moderne.
Exposition "Josef Koudelka. Ruines", du 15 septembre au 16 décembre 2020, BnF François-Mitterrand, Galerie 2. Pour en savoir plus : c.bnf.fr/G0f
« Les Livres des histoires du commencement du monde » est un ouvrage du XIVe siècle, réalisé sur vélin.
Le vélin, au sens strict du terme, est un parchemin confectionné avec de la peau de veau. Par extension, on appelle vélin un parchemin souple, blanc et fin, de grande qualité, fabriqué avec de la peau de veau, d’agneau ou de chevreau.
Au Moyen Âge, le vélin était réservé aux manuscrits de luxe, manuscrits à peinture en particulier, à côté du parchemin puis du papier utilisés pour les manuscrits plus courants.
L’usage du vélin se maintint aux XVe et XVIe siècles pour les exemplaires de luxe des livres imprimés, qui étaient au reste tirés sur papier ; c’est par exemple le cas des exemplaires destinés aux rois de France. Cet usage s’est conservé, bien que dans une moindre mesure, aux siècles suivants et jusqu’à l’époque contemporaine pour certains livres de bibliophilie.
Pour en savoir plus sur les vélins : https://www.bnf.fr/fr/les-velins
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L’ « Instruction pour comprendre en bref les préceptes et fondemens de la musique » est un petit ouvrage assez énigmatique, qui n’a jamais été réellement étudié. Exposé dans le cadre des Journées du Patrimoine 2020 à la BnF, et présenté en direct sur notre page Facebook le dimanche 20 septembre à 14h, voici un prélude à sa présentation.
Ce modeste ouvrage n’aborde que les notions nécessaires pour savoir chanter sa partie, l’équivalent de ce que nous appellerions le solfège. Cette orientation vers la pratique plutôt que vers la théorie, ainsi que la présence du mot « bref » dans le titre, sont plutôt caractéristiques du 16e siècle. Et de fait, aussi bien les conceptions théoriques de l’auteur que son langage paraissent fort archaïques pour 1666.
La page que nous avons choisi de vous montrer ici et d’exposer regarde elle aussi vers le passé. Elle montre la « main harmonique », outil mnémotechnique emblématique de l’apprentissage musical au Moyen Âge et à la Renaissance. À l’époque, on ne lisait pas la musique avec les sept noms en usage de nos jours, mais selon les principes de la solmisation.
On en attribue l’invention à Guido d’Arezzo, un moine et théoricien italien du 11e siècle, d’où le nom de « main guidonienne » fréquemment utilisé. Contrairement au solfège actuel, la solmisation nomme les notes d’une façon complexe. D’une part, les hauteurs fixes, correspondant à nos noms de notes actuels, sont désignées par les lettres de a à g, comme encore de nos jours en allemand et en anglais.
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́esdupatrimoine
« Oh ! là ! là ! qu'est-ce que c'est que çà ? : Encore Buster Brown et son chien » par Richard Felton Outcault.
Buster Brown est un célèbre personnage de bande dessinée, créé en 1902 par l'Américain Richard Felton Outcault et qui connut un grand succès. Chaque histoire, condensée sur une page ou deux, voit généralement une farce du jeune garçon se retourner contre lui. Buster Brown conclut alors sa mésaventure par une résolution de son cru.
Le 25 septembre à 10h, nous vous invitons à assister à la conférence en ligne « La bande dialoguée : une histoire des dialogues de bande dessinée, 1830-1960 ». Lors de cette séance, Benoît Glaude, de l’université catholique de Louvain, revient sur l’histoire des dialogues de bande dessinée de 1830 à 1960. À travers l’analyse de la voix et des corps en interactions, Benoît Glaude propose une relecture de l’histoire de la bande dessinée : https://c.bnf.fr/LbN
Pour découvrir les bêtises de Buster Brown, nous vous invitons à feuilleter l’album sur @GallicaBnF : https://c.bnf.fr/LbK
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L’ « Instruction pour comprendre en bref les préceptes et fondemens de la musique » est un petit ouvrage assez énigmatique, qui n’a jamais été réellement étudié. Exposé dans le cadre des Journées du Patrimoine 2020 à la BnF, et présenté en direct sur notre page Facebook le dimanche 20 septembre à 14h, voici un prélude à sa présentation.
Ce modeste ouvrage n’aborde que les notions nécessaires pour savoir chanter sa partie, l’équivalent de ce que nous appellerions le solfège. Cette orientation vers la pratique plutôt que vers la théorie, ainsi que la présence du mot « bref » dans le titre, sont plutôt caractéristiques du 16e siècle. Et de fait, aussi bien les conceptions théoriques de l’auteur que son langage paraissent fort archaïques pour 1666.
La page que nous avons choisi de vous montrer ici et d’exposer regarde elle aussi vers le passé. Elle montre la « main harmonique », outil mnémotechnique emblématique de l’apprentissage musical au Moyen Âge et à la Renaissance. À l’époque, on ne lisait pas la musique avec les sept noms en usage de nos jours, mais selon les principes de la solmisation.
On en attribue l’invention à Guido d’Arezzo, un moine et théoricien italien du 11e siècle, d’où le nom de « main guidonienne » fréquemment utilisé. Contrairement au solfège actuel, la solmisation nomme les notes d’une façon complexe. D’une part, les hauteurs fixes, correspondant à nos noms de notes actuels, sont désignées par les lettres de a à g, comme encore de nos jours en allemand et en anglais.
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