Compte officiel de la #Biennale de l'#Art #Contemporain #Africain de #Dakar au Sénégal | Dakar Biennale official account
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A good consistency is always a good sign.
The average percentage of IG users who follow @username who like his/her photos.
A good engagement rate is a sign of a healthy and responsive community.
The average amount of comments a photo by @username gets.
The average percentage of IG users who follow @username who comment on his/her photos.
Two users might have an average of 10 comments on their photos. One got 10 comments on every single one of his photos, while the other got 2 in most of them and 200 in a couple. The first user will have a high consistency while the second one will have a low consistency.
A low comment consistency can indicate that the average amount of comments might have been affected artificially due to a promotion.
The average percentage of comments a photo gets in relationship to the likes.
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@dak_artbiennale is a micro influencer with 10,285 followers.
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@dak_artbiennale usually publishes a few times per week, with a very poor use of captions and no use of hashtags
community engagement
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Jan 01 1970 GMT00:33
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APPEL À CANDIDATURE
À partir du 22 juin, 9h, les artistes visuels résidant au Sénégal pourront se porter candidats à l’acquisition de leurs œuvres par l’État du Sénégal dans le cadre du fond Covid 19.
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Jan 01 1970 GMT00:33
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« MURS-MURS »
Né à Dakar, Mouhamadou Moustapha DIOP alias Joob Mouha est un jeune artiste plasticien et vidéaste, diplômé de l'Ecole Nationale des Arts du Sénégal. Son travail fait l’objet de nombreuses expositions à travers le monde (Dakar, Paris, Bruxelles, Düsseldorf, Rennes, Gers...). Il est aussi connu pour ses vidéos, présentées à la Biennale de Dakar en 2018 (pavillon Sénégal), entre autres…
Grand explorateur des parois tachées ou craquelées qu’il travaillait sans relâche, dans son ancienne vie de peintre en bâtiment, Joob Mouha remarquait que la complicité du mur offre aussi une structure on ne peut plus propice à mettre en branle l’imagination. Tel un maçon, il utilise le ciment pour représenter ses propres murs bavards. En tant qu'artiste visuel, il voit les murs comme un médium pour l'humanité, un poumon silencieux qui inspire l’urbanité et expire l’empreinte du passé. Comme les parois des grottes, les murs nous renseignent sur notre vécu. La matière du mur s’anime de sa vie propre. Ses lézardes, ses zébrures, ses moisissures suscitent des ressemblances dont la découverte fortuite a toujours aidé l’homme à se révéler lui-même .
Les murs sont de véritables témoins de notre temps. Mouhamadou, en apposant sa toile sur le mur y inscrit un signe d’humanité et révèle sa réalité qui appelle à l’émotion, mais aussi à la réflexion. Il ne cherche pas à rendre ce mur « beau » ou à le faire oublier, mais tente par l’art de « désigner » la frontière et d’indiquer des issues possibles, traçant de minces et fugitifs traits d’union dans le paysage meurtri par la présence de cette lourde barrière de béton.
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Jan 01 1970 GMT00:33
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Artiste pluridisciplinaire, Emmanuel Tussore (1984 France)est diplômé de l’Institut d’Estudis Fotografics de Catalunya à Barcelone, sa pratique mêle photographie, vidéo, sculpture, installation et performance. Ses travaux ont été exposés au cours de différents événements comme la Berlinale 2017, la Biennale d’art contemporain de Dakar 2016, Lagos Photo Festival 2016, Les Nuits Blanches 2016 de Paris et Bruxelles.
Il est également sélectionné pour l'exposition internationale de la 14ème édition de la Biennale de Dakar.
Emmanuel Tussore s’intéresse à la notion de déplacement et bouscule l’idée même de frontière. Il se nourrit de l’histoire et de son actualité pour proposer sa vision d’un monde tragique, dans lequel la notion de disparition est prépondérante.
Le processus de fabrication du savon est élaboré au cours de l’Antiquité dans la région du Levant. Suite au déclin de l’Empire Romain, le savon est réintroduit en Occident par les Croisés qui le diffusent dès le XIIesiècle. Matière organique, fragile et malléable, Emmanuel Tussore la transforme dans une série de sculptures, d’installations, de photographies et de films. Entre ses mains, le savon d’Alep – le plus vieux savon du monde – devient le symbole d’une force brute, destructrice, à rebours du geste raffiné de l’homme civilisé. Les ruines racontent l’absence, la disparition, la perte, l’exil, et questionnent les notions fondamentales d’humanisme. En conservant la trace d’une histoire intime comme d’une mémoire collective, elles évoquent aussi la possibilité d’une reconstruction.
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Jan 01 1970 GMT00:33
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Mouhamed Moustapha
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Jan 01 1970 GMT00:33
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Mouhamed Moustapha, Photographe indépendant depuis 2012, Pondichéry, Inde.
Issu d'un milieu social défavorisé de l'Inde rurale et ayant dû surmonter d'immenses difficultés pour progresser dans la poursuite de ma passion, j'ai eu la chance de pouvoir rencontrer, travailler avec et apprendre d'éminentes personnalités dans le domaine de la photographie. Ces expériences, et la connexion profonde avec les gens et les endroits où je me suis rendu, m'ont permis de perfectionner mes compétences et de voir de nombreux aspects profonds du monde autour. Ce sont ces expériences que je souhaite documenter à travers ce parcours qui me permet de partager des idées et des facettes de ma propre vie à travers l'objectif. Une manière d'offrir de la motivation à d'autres aspirants en difficulté, et à tous les autres, un voyage qui rassemble le charme rustique du monde tel que je le perçois.
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Mouhamed Moustapha, Independent Photographer Since 2012, Pondicherry, India.
Hailing from an underprivileged domain of society in rural India, and having to overcome immense hardships to make progress in pursuing my passion, I had the good fortune of being able to meet, work with and learn from eminent personalities in the field of photography.
These experiences, and connecting deeply with the people and places that I have been to, has enabled me to hone my skills and view many profound aspects of the world around.
It is these experiences that I wish to document through this journey. It will serve as a means of sharing insights and vignettes from my own life through the lens, a way of offering motivation to other struggling aspirants, and to all else, a journey that brings together the rustic charm of the world as I perceive it.
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Jan 01 1970 GMT00:33
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Jean Laurent Koné Zié est diplômé en histoire de l'art et archéologie.
Enseignant de profession, il jouit d'une expérience de plus de15 ans dans l'univers de la peinture et à travers ses œuvres, milite pour la promotion des valeurs africaines. Selon ses propres mots: «J'essaie à travers mes créations de montrer l'importance de ma culture. Je pense qu'en tant qu'Africains, nous sommes la pierre angulaire du développement des pays africains. En tant qu'artiste, je dois guider, éduquer et sensibiliser aux sujets qui comptent ». Jean Laurent Koné Zié s’inspire de la statuaire dogon, reflet d’une tradition ethnique exceptionnelle. En s'ouvrant sur la statuaire, ses oeuvres laissent d'emblée le scrutateur s'imprégner de beauté et lui offre un parcours calme et habité, conçu comme une visite rendue à chaque forme d'art épanouie au sein d'un peuple, d'une zone ou d'une autre.
De son art se dégage un charme tout particulier : élégance des personnages et leurs traits distinctifs, un art de la silhouette tout en grâce. Les scènes de la vie quotidiennes qui y sont narrées sont stupéfiantes, c'est d'abord la force de leur présence qui attire le regard, mais le regard s'affine plus on avance. Chaque œuvre d’art témoigne à la fois de l’intimité des familles et de la représentation d’une cosmogonie unique qui structure la vie quotidienne comme le rythme et les rituels des cérémonies sociétales ou initiatiques.
L'ensemble de son travail est tellement cohérent et répétitif dans les moindres détails formels témoignant de sa maitrise, le style quant à lui, est remarquable par l'intelligence de ses choix plastiques qui tout en gardant le vocabulaire formel de l'art Dogon, le sublime par un savant équilibre géométrique. Un art à découvrir dans toute sa splendeur sans en ignorer le sens quand il est accessible, ni les mystères quand ils persistent.
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Jan 01 1970 GMT00:33
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«Le travail n’est pas simplement la recherche d’une beauté ou d’une gaieté mais c’est une implication dans la société, c’est aussi une façon pour l’artiste de contribuer en tant que citoyen à l’évolution de sa société»."
Né en 1969 à Dakar au Sénégal, Momar Seck vit en Suisse. Il est diplômé d’un doctorat en Arts plastiques à l’université de Strasbourg après avoir fait sa formation de 3ème cycle de perfectionnement à l’Ecole Supérieure des Beaux de Genève artistique. Il dirige et enseigne aujourd’hui au département d’art et design de l’Ecole internationale de Genève et intervient comme professeur d’art contemporain vacataire dans des universités au Sénégal. Momar Seck a participé à de nombreuses expositions en Europe, en Amérique et en Afrique ainsi qu’à la biennale d’art contemporain Dak’Art ou encore la biennale de la Havane.
Le travail de Momar Seck est spécialement basé sur des matériaux de récupération. Pour lui cela implique la réutilisation immédiate des objets de notre environnement à des fins plastiques : « Ce sont des objets de notre société qui sont utilisés ou réutilisés. Et au moment où ils sont jetés, je les récupère pour faire des propositions plastiques, nous sommes dans une société de consommation. L’utilisation de l’environnement n’est pas seulement un souci de recyclage. Le but, c’est plutôt d’avoir une option artistique et une vision plastique avec des moyens qui sont plus ou moins proches. C’est un choix artistique porté sur des objets plus accessibles et à portée de main.» L’artiste a pour habitude de travailler sur des thèmes qui sont en lien avec la société. Les bouts de bois et les tissus qu’il utilise ne sont que des métaphores faisant allusion au genre humain et aux relations qui en découlent : « Ces bouts de bois frêles, cassables et menacés individuellement savent que l’union fait la force».
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Jan 01 1970 GMT00:33
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Susana Pilar, 1984, vit et travaille à la Havane. Elle a étudié à l'Institut Supérieur d'Art de la Havane (ISA) puis a poursuivi des études en média et communication à l'Université des arts et du design de Karlsruhe en Allemagne. Son travail explore les obstacles et les défis auxquels les femmes sont confrontées dans une perspective tant personnelle qu'universelle. Éclectique dans la production de ses œuvres dont certaines ont été sélectionnées pour l’exposition internationale de la 14ème édition de la Biennale de Dakar, Susana Pilar donne corps à ses travaux performatifs par la photo, la vidéo et les installations. « En ces moments tristes pour notre humanité pendant lesquelles certains ont perdu des proches, d’autres leur emploi, et tous freinés dans leurs interactions sociales, nous devons garder Espoir et Prier pour un avenir meilleur pour nous et notre grande Maison commune: la Terre».
Tel est le message de soutien et de solidarité que nous livre Susana Pilar. Susana Pilar, 1984, lives and works in Havana. She studied at the Higher Institute of Art in Havana (ISA) then continued studies in media and communication at the University of Arts and Design in Karlsruhe in Germany.
Her work explores the obstacles and challenges that women face from both a personal and a universal perspective. Eclectic in the production of her works, some of which were selected for the international exhibition of the 14th edition of the Dakar Biennale, Susana Pilar gives shape to her performative works through photo, video and installations. « It is indeed a sad moment for our humanity. We had lost people, we had lost jobs and social interactions. We need to hold tight to our Hope and Pray for a better future for us and our big common Home: The Earth ». This is the support and solidarity message delivered by Susana Pilar.
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Jan 01 1970 GMT00:33
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La relation entre Aliou Diack et la Nature est déjà connue. Ce jeune homme qui, enfant, se rendait à l’école à pied et entendait dans la pénombre de l’aurore le bruit des animaux de la brousse, nous délivre dès 2014 des travaux d’un esthétisme nouveau, associé à des techniques propres, reflets de sa perception extrasensorielle.
Ses oeuvres, véritables récits de songes, comme pour exorciser ses cauchemars d’enfant, ont dès le début fasciné. D’un chaos apparent de formes et de textures jaillit un foisonnement de détails, ou, paradoxalement, un vide chirurgical qui ne se révèlent qu’au moment où on s’en approche. Sous emprise, il est quasiment impossible de ne pas venir au contact de ses oeuvres, qui absorbent le visiteur et lui font percevoir un autre monde, dont Aliou est le dépositaire. Un univers secret d’initiés qui vivifie tous les sens et reconnecte l’Homme engourdi à une nature sacrée, maltraitée. Laissée à la merci des éléments puis à ses pèlerins à plumes, sa création se façonne sur la toile vierge. Ce ballet orchestré d’interventions divines illustre les facultés de l’artiste à travailler de pair avec l’insaisissable, ineffable. Ce rituel, exposé aux caprices et aléas du Temps, est ensuite cartographié par Aliou en semant les pigments issus de son village (près de Mbour) avant qu’il ne finalise au pastel. Préparée par sa famille, cette alliance de savoirs ancestraux et pratiques traditionnelles sénégalaises précieuses fige les visions du Chaman qu’il est.
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Jan 01 1970 GMT00:33
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Chuck One — Ce précurseur a commencé dès 1985 à signer de son Tag sur les lignes stratégiques de métro parisien, ce qui lui a valu le titre de king of subway. Fondateur du collectif Basalt en 1990, il a assuré à travers des événements internationaux le rayonnement du Graffiti Parisien jusqu’en 1995. Ses Oeuvres sont dans les collections publiques et privées: elles sont notamment conservées au Fonds National d’Art Contemporain de France, à la ville de Strasbourg, au Ministère de la Culture et de la Communication et au Ministère de l’Outre-mer, à la Fondation Téthis et ont rejoint récemment la collection permanente du MEMORIAL ACTE et Hangzhou Jinrui Group en Chine.
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Jan 01 1970 GMT00:33
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Adejoke Tugbiyele est une artiste et activiste d’origine nigériane née aux USA. Elle est titulaire d’un BS en architecture du nouveau Jersey Institute of Technology et d’un Master of Fine Arts (MFA) en sculpture du Maryland Institute College of Arts. Elle fait partie des artistes sélectionnés pour l’exposition internationale de la 14ème édition de la Biennale de Dakar.
Les œuvres de Tugbiyele sont chargées de significations symboliques qui relient et superposent les idées historiques, culturelles et politiques à celles de race, de genre, de classe sexuelle, d’économie, de politique sexuelle et religion. Elle transforme les balais traditionnels en feuilles de palmier en rituel / costume / objets de représentation et sculptures figuratives - Balai et Bronze.
« Le balai, que ce soit en Afrique du Sud, dans la culture Yoruba au Nigeria ou au Swaziland, a toujours eu une symbolique de purification, de nettoyage spirituel. » Évoquant la sphère domestique à laquelle sont souvent cantonnées les femmes, il permet ici de déconstruire la question du genre qui parcourt la réflexion d’Adejoke Tugbiyele. « Le message est que nous pouvons être à la fois féminins et masculins. Nous pouvons être hybrides. »
Le travail de Tugbiyele se trouve dans de nombreuses collections institutionnelles, et publiques et dans d'importantes collections privées. Son travail a été mentionné et revu dans des publications de premier plan à travers le monde et, elle a siégé en tant que panéliste distinguée au sein d'institutions réputées
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Jan 01 1970 GMT00:33
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Agé de 35 ans, Alioune Diagne est un artiste sénégalais diplômé des Beaux-Arts. Ses oeuvres ont été sélectionnées pour l’exposition internationale de la 14ème Biennale de Dakar.
Il est l’un des précurseurs du mouvement figuro-abstro qui consiste à construire une image figurative à l’aide d’éléments abstraits, des signes dits inconscients qu’il considère comme un langage universel. En attendant de pouvoir se raconter, raconter son pays, ce qu’il ressent et de permettre à celui qui regarde son art, de se le représenter selon ses propres perceptions, Alioune Diagne nous réitère sa solidarité agissante contre le Covid 19 et nous donne rendez-vous à la prochaine Biennale .
Alioune Diagne, 35, is a Senegalese artist who is graduated in Fine Arts. His works have been selected for the international exhibition of the 14th Dakar Biennale. He is one of the forerunners of the figuro-abstro movement which consists in constructing a figurative image using abstract elements, so-called unconscious signs which he considers as a universal language. Until he can relate, tells his country, what he feels and allow one who looks at his art, to represent it according to his own perceptions, Alioune Diagne reiterates her active solidarity against the Covid 19 and gives us an appointment at the next Biennale.
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May 17 2020 GMT16:18
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« MURS-MURS »
Né à Dakar, Mouhamadou Moustapha DIOP alias Joob Mouha est un jeune artiste plasticien et vidéaste, diplômé de l'Ecole Nationale des Arts du Sénégal. Son travail fait l’objet de nombreuses expositions à travers le monde (Dakar, Paris, Bruxelles, Düsseldorf, Rennes, Gers...). Il est aussi connu pour ses vidéos, présentées à la Biennale de Dakar en 2018 (pavillon Sénégal), entre autres…
Grand explorateur des parois tachées ou craquelées qu’il travaillait sans relâche, dans son ancienne vie de peintre en bâtiment, Joob Mouha remarquait que la complicité du mur offre aussi une structure on ne peut plus propice à mettre en branle l’imagination. Tel un maçon, il utilise le ciment pour représenter ses propres murs bavards. En tant qu'artiste visuel, il voit les murs comme un médium pour l'humanité, un poumon silencieux qui inspire l’urbanité et expire l’empreinte du passé. Comme les parois des grottes, les murs nous renseignent sur notre vécu. La matière du mur s’anime de sa vie propre. Ses lézardes, ses zébrures, ses moisissures suscitent des ressemblances dont la découverte fortuite a toujours aidé l’homme à se révéler lui-même .
Les murs sont de véritables témoins de notre temps. Mouhamadou, en apposant sa toile sur le mur y inscrit un signe d’humanité et révèle sa réalité qui appelle à l’émotion, mais aussi à la réflexion. Il ne cherche pas à rendre ce mur « beau » ou à le faire oublier, mais tente par l’art de « désigner » la frontière et d’indiquer des issues possibles, traçant de minces et fugitifs traits d’union dans le paysage meurtri par la présence de cette lourde barrière de béton.
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May 16 2020 GMT16:48
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Artiste pluridisciplinaire, Emmanuel Tussore (1984 France)est diplômé de l’Institut d’Estudis Fotografics de Catalunya à Barcelone, sa pratique mêle photographie, vidéo, sculpture, installation et performance. Ses travaux ont été exposés au cours de différents événements comme la Berlinale 2017, la Biennale d’art contemporain de Dakar 2016, Lagos Photo Festival 2016, Les Nuits Blanches 2016 de Paris et Bruxelles.
Il est également sélectionné pour l'exposition internationale de la 14ème édition de la Biennale de Dakar.
Emmanuel Tussore s’intéresse à la notion de déplacement et bouscule l’idée même de frontière. Il se nourrit de l’histoire et de son actualité pour proposer sa vision d’un monde tragique, dans lequel la notion de disparition est prépondérante.
Le processus de fabrication du savon est élaboré au cours de l’Antiquité dans la région du Levant. Suite au déclin de l’Empire Romain, le savon est réintroduit en Occident par les Croisés qui le diffusent dès le XIIesiècle. Matière organique, fragile et malléable, Emmanuel Tussore la transforme dans une série de sculptures, d’installations, de photographies et de films. Entre ses mains, le savon d’Alep – le plus vieux savon du monde – devient le symbole d’une force brute, destructrice, à rebours du geste raffiné de l’homme civilisé. Les ruines racontent l’absence, la disparition, la perte, l’exil, et questionnent les notions fondamentales d’humanisme. En conservant la trace d’une histoire intime comme d’une mémoire collective, elles évoquent aussi la possibilité d’une reconstruction.
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May 11 2020 GMT17:03
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La relation entre Aliou Diack et la Nature est déjà connue. Ce jeune homme qui, enfant, se rendait à l’école à pied et entendait dans la pénombre de l’aurore le bruit des animaux de la brousse, nous délivre dès 2014 des travaux d’un esthétisme nouveau, associé à des techniques propres, reflets de sa perception extrasensorielle.
Ses oeuvres, véritables récits de songes, comme pour exorciser ses cauchemars d’enfant, ont dès le début fasciné. D’un chaos apparent de formes et de textures jaillit un foisonnement de détails, ou, paradoxalement, un vide chirurgical qui ne se révèlent qu’au moment où on s’en approche. Sous emprise, il est quasiment impossible de ne pas venir au contact de ses oeuvres, qui absorbent le visiteur et lui font percevoir un autre monde, dont Aliou est le dépositaire. Un univers secret d’initiés qui vivifie tous les sens et reconnecte l’Homme engourdi à une nature sacrée, maltraitée. Laissée à la merci des éléments puis à ses pèlerins à plumes, sa création se façonne sur la toile vierge. Ce ballet orchestré d’interventions divines illustre les facultés de l’artiste à travailler de pair avec l’insaisissable, ineffable. Ce rituel, exposé aux caprices et aléas du Temps, est ensuite cartographié par Aliou en semant les pigments issus de son village (près de Mbour) avant qu’il ne finalise au pastel. Préparée par sa famille, cette alliance de savoirs ancestraux et pratiques traditionnelles sénégalaises précieuses fige les visions du Chaman qu’il est.
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May 17 2020 GMT16:18
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« MURS-MURS »
Né à Dakar, Mouhamadou Moustapha DIOP alias Joob Mouha est un jeune artiste plasticien et vidéaste, diplômé de l'Ecole Nationale des Arts du Sénégal. Son travail fait l’objet de nombreuses expositions à travers le monde (Dakar, Paris, Bruxelles, Düsseldorf, Rennes, Gers...). Il est aussi connu pour ses vidéos, présentées à la Biennale de Dakar en 2018 (pavillon Sénégal), entre autres…
Grand explorateur des parois tachées ou craquelées qu’il travaillait sans relâche, dans son ancienne vie de peintre en bâtiment, Joob Mouha remarquait que la complicité du mur offre aussi une structure on ne peut plus propice à mettre en branle l’imagination. Tel un maçon, il utilise le ciment pour représenter ses propres murs bavards. En tant qu'artiste visuel, il voit les murs comme un médium pour l'humanité, un poumon silencieux qui inspire l’urbanité et expire l’empreinte du passé. Comme les parois des grottes, les murs nous renseignent sur notre vécu. La matière du mur s’anime de sa vie propre. Ses lézardes, ses zébrures, ses moisissures suscitent des ressemblances dont la découverte fortuite a toujours aidé l’homme à se révéler lui-même .
Les murs sont de véritables témoins de notre temps. Mouhamadou, en apposant sa toile sur le mur y inscrit un signe d’humanité et révèle sa réalité qui appelle à l’émotion, mais aussi à la réflexion. Il ne cherche pas à rendre ce mur « beau » ou à le faire oublier, mais tente par l’art de « désigner » la frontière et d’indiquer des issues possibles, traçant de minces et fugitifs traits d’union dans le paysage meurtri par la présence de cette lourde barrière de béton.
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La relation entre Aliou Diack et la Nature est déjà connue. Ce jeune homme qui, enfant, se rendait à l’école à pied et entendait dans la pénombre de l’aurore le bruit des animaux de la brousse, nous délivre dès 2014 des travaux d’un esthétisme nouveau, associé à des techniques propres, reflets de sa perception extrasensorielle.
Ses oeuvres, véritables récits de songes, comme pour exorciser ses cauchemars d’enfant, ont dès le début fasciné. D’un chaos apparent de formes et de textures jaillit un foisonnement de détails, ou, paradoxalement, un vide chirurgical qui ne se révèlent qu’au moment où on s’en approche. Sous emprise, il est quasiment impossible de ne pas venir au contact de ses oeuvres, qui absorbent le visiteur et lui font percevoir un autre monde, dont Aliou est le dépositaire. Un univers secret d’initiés qui vivifie tous les sens et reconnecte l’Homme engourdi à une nature sacrée, maltraitée. Laissée à la merci des éléments puis à ses pèlerins à plumes, sa création se façonne sur la toile vierge. Ce ballet orchestré d’interventions divines illustre les facultés de l’artiste à travailler de pair avec l’insaisissable, ineffable. Ce rituel, exposé aux caprices et aléas du Temps, est ensuite cartographié par Aliou en semant les pigments issus de son village (près de Mbour) avant qu’il ne finalise au pastel. Préparée par sa famille, cette alliance de savoirs ancestraux et pratiques traditionnelles sénégalaises précieuses fige les visions du Chaman qu’il est.